vendredi 17 mai 2019


Le 12/04/2019             Les Cabanes de

                         Prats-de-Sournia

( avec ou sans photos du Caribou )

 

Les Vambes présentes:

 

Le big boss:  le Caribou dit Marcel ROUILLE

son cousin :  le Lynx  dit Pierre DELPUECH

les amigos :  le Cabrit dit Jean-Pierre FLAJOLET

                      l’Okapi dit Michel BARTOLI

 

 

 Ce vendredi 12/04/2019, c’est le grand jour nous étrennons la toute nouvelle Peugeot de l’Okapi . Ça tombe bien, nous sommes quatre et pour aller à Prats-de-Sournia, nous allons ainsi pouvoir bénéficier du confort maximum offert par cette belle 3008.

Côté sécurité, il faudra juger sur le trajet car l’Okapi ne l’a pas encore tout fait en mains. Bon, les copains font confiance, mais avec l’un qui a peur des bas-côtés et l’autre qui a le vertige, va falloir “assurer grave“ pour parler idem la jeunesse .

Comme habituellement, le départ de Villelongue se fait après passage à la boulangerie où le Caribou se fend de pains au chocolat .

Aller hop, nous prenons la route du bord de la Têt en  direction d’Ille-sur-Têt où après Trévillach, nous bifurquerons vers Prats .

Sur le trajet, le Caribou n’en peut plus, il veut connaître l’utilisation des touches informatiques. mais, pas de chance, à chaque contact la voix d’une petite dame, puis ensuite la radio se font entendre. Mais impossible de pouvoir les arrêter sinon en retapant sur une autre touche

Il faudra bien que l’Okapi aille aux infos avec le petit manuel Peugeot, ça pourrait aider .

Arrivés à l’ancienne coopérative, nous stationnons sur son parking et là , l’Okapi se retrouve affublé du titre du chef du jour-rédacteur de compte-rendu: Tant pis pour les lecteurs du blog…!

Il faut à présent monter dans la rue des Corbières et tourner à droite chemin de la Chapelle . Nous passons devant le grand lavoir couvert puis au dessus de la fontaine Fontvieille et de ses abreuvoirs . Une fois atteint le carrefour, nous poursuivons à droite sur la piste DFCI F61 où nous pouvons déjà voir la première cabane . Puis, nous allons tout droit dans la montée derrière le ravin de la Coumbo , et un peu plus loin, sur nôtre gauche, découvrons une  belle cabane dans un enclos.

Nous grimpons jusqu’à l’arrêt de la section bitumée au niveau du passage canadien et suivons la piste en terre qui reliait dans le temps SOURNIA au VIVIER.

Arrivés à une patte d’oie , en dessous du col de GUZA, il nous faut tourner à gauche en dépassant les « cortals »en ruines. ………Et nous avançons droit dans la chênaie sans tenir compte des chemins latéraux pour trouver la belle cabane de los Agradanos (traduction: le beau lieu ) .
 
 

De là, la vue sur les Fenouillèdes est superbe mais le Caribou est cependant tourmenté: il ne parvient pas à s’orienter avec le Canigou depuis là où nous sommes; quelles sont ces montagnes entre nous et le Canigou ?
 
 
 
Superbe CANIGOU….
 

Nous suivons la piste sur 250 m jusqu’au cortal en ruines et tournons à droite sur le chemin caillouteux bordé de buis . En montant après environ 180 m nous apercevons la très belle cabane de “la Pelado“ avec ses deux ouvertures à l’est . Elle est composée d’une grande pièce

 9,5 m x 2,5 m   et d’une autre plus petite 2m x 2m servant d’abri.

 


La petite pièce est réservée au berger, et la grande au troupeau.

Nous continuons notre montée, obliquons à gauche durant 100 m et rejoignons la piste carrossable.

Ensuite après 50 m de grimpette, le long d’une clôture, nous franchissons un passage canadien pour nous trouver face à une clairière .

Ici, il nous faut faire un aller-retour, mais le poteau indiquant le trajet des cabanes et (ou) le Faja d’en BAILLETTE a était mis à terre par la tramontane .

Pas de problème pour le Cabrit et l’Okapi, ils prennent sur leur droite ; le chemin est balisé et les indications du poteau sont, pour eux, dans le bon sens .

Cependant, problème il y a pour le Caribou qui pense être sur le parcours des cabanes plutôt que sur le chemin de  l’aller-retour. Malgré tout, n’étant pas très sûr de son fait il nous emboîte le pas avec le Lynx.

« Mais Marcel, tu ne voudrais pas parier un foie-gras par hasard ? » « Je ne parie que quand je suis sûr, et là , je dois dire que……… »

« Bon d’accord, ce n’est que partie remise. »

Sur le chemin nous croisons un couple ,

-« Avez-vous vu le Fagus ? » leur demande Caribou pour se rassurer

-«  Oui, oui , il est magnifique. Il est à environ 10 minutes . »

 

Ouf , nous voilà tranquilles , nous sommes bien en route pour voir le fameux Hêtre .

Effectivement , au bout de la descente toute droite, nous arrivons devant le remarquable FAJA d’en BAILLETTE .
 
    Quel bel arbre….
 
 
A 4 les VAMBES n'ont pas pu entourer l'arbre remarquable

Nous retournons ensuite à l’intersection dans la clairière et remettons le poteau en position verticale, le calant avec de gros cailloux , pour descendre sur la droite. Une fois la route atteinte, nous poursuivons la descente à gauche et admirons sur le bord, la cabane du Sarrat de la Carrette constituée de deux pièces en enfilade .

Le long de la route, se succèdent une cabane double sous les chênes, puis une autre 15 m derrière .

Nous continuons de descendre en ignorant la piste de gauche et plus bas le GR 36 vers SOURNIA à droite.

                                                    MAIS

-malgré les remarques verbales et les observations de-visu du Lynx ,

-malgré le topo-guide,

 le chef du jour n’indiquera pas de grimper à l’oratoire du CALMEILL pourvu de ses trois tables d’orientations.

Mais à quoi rève-t-il ce chef du jour de mes deux ?

Quel dommage pour les points de vue et peut-être aussi pour une possible réponse au tourment du Caribou .

C’est peine perdue pour l’Okapi qui, pour récupérer sa bévue, propose d’admirer  ce panorama en y retournant en voiture.

Nous rejoignons la coopérative non sans être passés dans les ruelles du village et au pied de la tour signaux actuellement en réfection .

 

C’est maintenant l’heure importante du déjeuner. Il ne faudrait pas commettre un impair supplémentaire et trouver un endroit sympa .

Il est vrai que sans notre camarade spécialiste des endroits pique-nique Patoufet, la tâche paraît ardue .

Notre Caribou, nous propose d’aller en direction de Prades et chemin faisant de questionner quelques villageois de rencontre pour trouver une table .

La proposition prend forme dans l’indication d’une petite jeune Lola .

«  passez le pont et ensuite le long de la rivière vous trouverez des tables » et puis plus loin dans l’explication d’un employé communal

« longez la rivière, tournez ensuite au pont vert et tout de suite derrière, prenez à droite » . 

Yes! Enfin l’endroit idéal pour nous : Il correspond à tous nos critères

à l’abri du vent, le long de la rivière, deux tables pour nos sacs à dos, entourés par la nature, pas de voisin ………………

Alors une fois de plus, nous sommes les ROIS .

Bien sûr , le Caribou envoie le texto habituel aux absents, histoire d’attiser leur jalousie .

Mais il ne faudrait pas se quitter comme ça, en reprenant la voiture, le Lynx propose de prendre le pot de l’amitié à Prades. Evidemment, tout le monde accepte .Merci le Lynx.

Ensuite, rien de bien particulier .Une fois remontés en voiture pour sortir de la place de stationnement, le poteau du parking est emplafonné avec la boule de la remorque .Plus loin, au sortir de la ville on manque d’écraser deux vieilles personnes masquées par un utilitaire mal garé, et encore plus loin l’Okapi coupe un virage à droite,( il rase le bougre dirait certain ) et monte sur le trottoir .

Tout ça après avoir bu un lait-fraise .A vous de penser à ce qu’il en adviendrait s’il en était tout autrement.

 

Amicalement à toutes les Vambes

 

L’OKAPI 1er de cordée.
 

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