vendredi 17 mai 2019


Le 12/04/2019             Les Cabanes de

                         Prats-de-Sournia

( avec ou sans photos du Caribou )

 

Les Vambes présentes:

 

Le big boss:  le Caribou dit Marcel ROUILLE

son cousin :  le Lynx  dit Pierre DELPUECH

les amigos :  le Cabrit dit Jean-Pierre FLAJOLET

                      l’Okapi dit Michel BARTOLI

 

 

 Ce vendredi 12/04/2019, c’est le grand jour nous étrennons la toute nouvelle Peugeot de l’Okapi . Ça tombe bien, nous sommes quatre et pour aller à Prats-de-Sournia, nous allons ainsi pouvoir bénéficier du confort maximum offert par cette belle 3008.

Côté sécurité, il faudra juger sur le trajet car l’Okapi ne l’a pas encore tout fait en mains. Bon, les copains font confiance, mais avec l’un qui a peur des bas-côtés et l’autre qui a le vertige, va falloir “assurer grave“ pour parler idem la jeunesse .

Comme habituellement, le départ de Villelongue se fait après passage à la boulangerie où le Caribou se fend de pains au chocolat .

Aller hop, nous prenons la route du bord de la Têt en  direction d’Ille-sur-Têt où après Trévillach, nous bifurquerons vers Prats .

Sur le trajet, le Caribou n’en peut plus, il veut connaître l’utilisation des touches informatiques. mais, pas de chance, à chaque contact la voix d’une petite dame, puis ensuite la radio se font entendre. Mais impossible de pouvoir les arrêter sinon en retapant sur une autre touche

Il faudra bien que l’Okapi aille aux infos avec le petit manuel Peugeot, ça pourrait aider .

Arrivés à l’ancienne coopérative, nous stationnons sur son parking et là , l’Okapi se retrouve affublé du titre du chef du jour-rédacteur de compte-rendu: Tant pis pour les lecteurs du blog…!

Il faut à présent monter dans la rue des Corbières et tourner à droite chemin de la Chapelle . Nous passons devant le grand lavoir couvert puis au dessus de la fontaine Fontvieille et de ses abreuvoirs . Une fois atteint le carrefour, nous poursuivons à droite sur la piste DFCI F61 où nous pouvons déjà voir la première cabane . Puis, nous allons tout droit dans la montée derrière le ravin de la Coumbo , et un peu plus loin, sur nôtre gauche, découvrons une  belle cabane dans un enclos.

Nous grimpons jusqu’à l’arrêt de la section bitumée au niveau du passage canadien et suivons la piste en terre qui reliait dans le temps SOURNIA au VIVIER.

Arrivés à une patte d’oie , en dessous du col de GUZA, il nous faut tourner à gauche en dépassant les « cortals »en ruines. ………Et nous avançons droit dans la chênaie sans tenir compte des chemins latéraux pour trouver la belle cabane de los Agradanos (traduction: le beau lieu ) .
 
 

De là, la vue sur les Fenouillèdes est superbe mais le Caribou est cependant tourmenté: il ne parvient pas à s’orienter avec le Canigou depuis là où nous sommes; quelles sont ces montagnes entre nous et le Canigou ?
 
 
 
Superbe CANIGOU….
 

Nous suivons la piste sur 250 m jusqu’au cortal en ruines et tournons à droite sur le chemin caillouteux bordé de buis . En montant après environ 180 m nous apercevons la très belle cabane de “la Pelado“ avec ses deux ouvertures à l’est . Elle est composée d’une grande pièce

 9,5 m x 2,5 m   et d’une autre plus petite 2m x 2m servant d’abri.

 


La petite pièce est réservée au berger, et la grande au troupeau.

Nous continuons notre montée, obliquons à gauche durant 100 m et rejoignons la piste carrossable.

Ensuite après 50 m de grimpette, le long d’une clôture, nous franchissons un passage canadien pour nous trouver face à une clairière .

Ici, il nous faut faire un aller-retour, mais le poteau indiquant le trajet des cabanes et (ou) le Faja d’en BAILLETTE a était mis à terre par la tramontane .

Pas de problème pour le Cabrit et l’Okapi, ils prennent sur leur droite ; le chemin est balisé et les indications du poteau sont, pour eux, dans le bon sens .

Cependant, problème il y a pour le Caribou qui pense être sur le parcours des cabanes plutôt que sur le chemin de  l’aller-retour. Malgré tout, n’étant pas très sûr de son fait il nous emboîte le pas avec le Lynx.

« Mais Marcel, tu ne voudrais pas parier un foie-gras par hasard ? » « Je ne parie que quand je suis sûr, et là , je dois dire que……… »

« Bon d’accord, ce n’est que partie remise. »

Sur le chemin nous croisons un couple ,

-« Avez-vous vu le Fagus ? » leur demande Caribou pour se rassurer

-«  Oui, oui , il est magnifique. Il est à environ 10 minutes . »

 

Ouf , nous voilà tranquilles , nous sommes bien en route pour voir le fameux Hêtre .

Effectivement , au bout de la descente toute droite, nous arrivons devant le remarquable FAJA d’en BAILLETTE .
 
    Quel bel arbre….
 
 
A 4 les VAMBES n'ont pas pu entourer l'arbre remarquable

Nous retournons ensuite à l’intersection dans la clairière et remettons le poteau en position verticale, le calant avec de gros cailloux , pour descendre sur la droite. Une fois la route atteinte, nous poursuivons la descente à gauche et admirons sur le bord, la cabane du Sarrat de la Carrette constituée de deux pièces en enfilade .

Le long de la route, se succèdent une cabane double sous les chênes, puis une autre 15 m derrière .

Nous continuons de descendre en ignorant la piste de gauche et plus bas le GR 36 vers SOURNIA à droite.

                                                    MAIS

-malgré les remarques verbales et les observations de-visu du Lynx ,

-malgré le topo-guide,

 le chef du jour n’indiquera pas de grimper à l’oratoire du CALMEILL pourvu de ses trois tables d’orientations.

Mais à quoi rève-t-il ce chef du jour de mes deux ?

Quel dommage pour les points de vue et peut-être aussi pour une possible réponse au tourment du Caribou .

C’est peine perdue pour l’Okapi qui, pour récupérer sa bévue, propose d’admirer  ce panorama en y retournant en voiture.

Nous rejoignons la coopérative non sans être passés dans les ruelles du village et au pied de la tour signaux actuellement en réfection .

 

C’est maintenant l’heure importante du déjeuner. Il ne faudrait pas commettre un impair supplémentaire et trouver un endroit sympa .

Il est vrai que sans notre camarade spécialiste des endroits pique-nique Patoufet, la tâche paraît ardue .

Notre Caribou, nous propose d’aller en direction de Prades et chemin faisant de questionner quelques villageois de rencontre pour trouver une table .

La proposition prend forme dans l’indication d’une petite jeune Lola .

«  passez le pont et ensuite le long de la rivière vous trouverez des tables » et puis plus loin dans l’explication d’un employé communal

« longez la rivière, tournez ensuite au pont vert et tout de suite derrière, prenez à droite » . 

Yes! Enfin l’endroit idéal pour nous : Il correspond à tous nos critères

à l’abri du vent, le long de la rivière, deux tables pour nos sacs à dos, entourés par la nature, pas de voisin ………………

Alors une fois de plus, nous sommes les ROIS .

Bien sûr , le Caribou envoie le texto habituel aux absents, histoire d’attiser leur jalousie .

Mais il ne faudrait pas se quitter comme ça, en reprenant la voiture, le Lynx propose de prendre le pot de l’amitié à Prades. Evidemment, tout le monde accepte .Merci le Lynx.

Ensuite, rien de bien particulier .Une fois remontés en voiture pour sortir de la place de stationnement, le poteau du parking est emplafonné avec la boule de la remorque .Plus loin, au sortir de la ville on manque d’écraser deux vieilles personnes masquées par un utilitaire mal garé, et encore plus loin l’Okapi coupe un virage à droite,( il rase le bougre dirait certain ) et monte sur le trottoir .

Tout ça après avoir bu un lait-fraise .A vous de penser à ce qu’il en adviendrait s’il en était tout autrement.

 

Amicalement à toutes les Vambes

 

L’OKAPI 1er de cordée.
 

dimanche 12 mai 2019


 

ERMITAGE St-JACQUES DE St-ANDRE-DE-ROQUELONGUE

                                                                                                           Vendredi 15 mars 2019

 

 

Distance        10 km

Dénivelé        200 m

Durée                3 h

                                        Participants :  -       Michel BARTOLI  dit l’Okapi   ( viennoiseries )

-          Pierre DELPUECH dit le Lynx

-          Jean-Pierre FLAJOLET dit le Cabrit  ( voiture )

-          Jean-Louis GRACIA  dit Patoufet  ( voiture)

-          André ROSAT dit la Fura  ( chef du jour )

-          Marcel ROUILLE  dit le Caribou                                              

 

 

 

         7 h 45, l’ensemble de la troupe se retrouve pour une fois pile à l’heure et en tir groupé chez le Caribou. Comme nous sommes 6 zouaves, deux véhicules seront nécessaires et se sera au tour de Jampy et de Patoufet de transporter le bétail. Nous n’étrennerons donc pas ce jour la rutilante et flambant neuve Peugeot 3008 blanche dont Maitre Okapi vient tout juste de prendre livraison et qui recueille qq commentaires admiratifs ( la bagnole, pas cette vielle carne d’Okapi !).
 
La rutilante caisse de l'OKAPI restera parquée….

       En l’absence de l’Isard qui use sa couenne sur le chemin catalan de St-Jacques de Compostelle, notre bon Mimi, encore tout gonflé par nos compliments sur sa caisse, se « dèsboutoune » pour le pain et les viennoiseries.
 
 
Puis trajet confortable et sans histoire avec nos deux excellents chauffeurs. Après la traversée de St-André, nous gagnons la métairie du Coude pour nous garer un peu plus loin dans la campagne sur un parking en terre avec à proximité une table sympathique qui sera parfaite pour notre pique-nique au retour.
    La métairie du COUDE….

      Il fait relativement beau temps malgré un vent frisquet nécessitant les doudounes. Tandis que les viennoiseries sont gloutonnement englouties, la Fure, bombardé chef du jour, hérite du topoguide assaisonné comme d’hab  de quelques remarques aussi acides que dévalorisantes qui ne méritent qu’un silence méprisant.

   


      Départ à 9 h 45 plein sud pour rejoindre un sentier descendant à travers une pinède jusqu’à un large chemin que nous empruntons par la gauche délaissant derrière nous la métairie. Cheminant entre les vignes bordées d’amandiers, nous atteignons un petit passage à gué sur le ruisseau de la Caminade.

    
Vignes et paysages se succèdent….

Le passage à gué…..

    En voulant le franchir d’un élégant saut de gazelle, ce qui évidemment n’est plus de son âge, la Fure ressent à l’atterrissage un douloureux claquage au niveau du mollet gauche. Mais sa décision est vite prise : quelles que soient les circonstances, jamais un chef du jour ne peut s’autoriser à abandonner son troupeau dont les aptitudes à l’orientation déclinent de semaine en semaine.

       Distraits par cet incident, nous grimpons pendant une dizaine de minutes sur le chemin sinueux jusqu’à un large virage d’où la vue dégagée nous permet d’apercevoir la métairie en contre-bas. Pas de doute, il faut faire demi-tour car nous sommes en fait sur le trajet retour de notre boucle. Bien entendu c’est un tombereau de quolibets sur cette pauvre Fure sans la moindre prise en compte de son handicap.

     Redescendu juste avant le ruisseau de la Caminade, le Caribou qui a momentanément repris les rennes ( excellent ! ) en bougonnant comme il le fait souvent après les bévues de plus en plus fréquentes des chefs du jour, nous propose une sente sur la droite bien que non balisée . Après avoir erré un bon moment sur ce sentier de chasseurs de plus en plus difficile, jalonné de quelques perchoirs d’observation, il faut se rendre à l’évidence : nous nous sommes encore trompés.

Pauvres VAMBES perdues dans la garrigue….

 Re quolibets, bref toujours la parabole de la paille et de la poutre. Encore une demi-heure de perdue mais fort heureusement, ce sera la dernière boulette de la journée.

       Reprenant la direction des opérations, la Fure finit par retrouver en amont du gué un discret sentier aucunement signalé qui monte assez dur dans une forêt dense essentiellement constituée de pins maritimes mais aussi d’arbousiers et de bruyères. Après cette grimpette il nous faut redescendre pour franchir la combe du Verre au niveau d’une belle échancrure géologique.
 Et voici la preuve sur le rocher, qui témoigne de la mauvaise foi de la FURE..... Le sentier qui part sur la gauche était évidemment indiqué !!! sur le rocher et aussi sur l'arbre !!!

      Nous nous coltinons ensuite une longue montée toujours à travers la forêt qui s’éclaircit toutefois progressivement, avec émergence ça et là de gros blocs de grès ocres. Nous « buffons » tous, en particulier notre ami Patoufet, dernier de cordée. Allez il va bientôt être 11 h et voilà venu le moment toujours agréable de la pause hypo qui permet à chacun selon son humeur de s’ébrouer, de se vider, de se remplir ou de se remaquiller.
 
 
  En avant la grimpette….
 Et enfin la pause…..
 Le Lynx est un homme serein….
C'est reparti….

      Reprenons notre ascension, nous atteignons rapidement une piste carrossable empruntée par la droite d’abord en descente puis en montée pour parvenir à un carrefour de pistes ou un panneau indique à droite le discret sentier de l’ancienne chapelle de St-Martin de la Vernèdre appelée depuis le XVIII° siècle Ermitage St Jacques.
 

       Pour l’atteindre, il nous faudra grimper au sommet de la colline de la Vernèdre.  Patoufet et Jampy décident de faire l’impasse, tandis que nous commençons l’ascension.
 
Quelques têtes apparaissent dans la grimpette….
Des jolis paysages nous sont offerts…..
 
Et voilà l'Ermitage…..
 
 
 
De l’ermitage lui-même, de style romano-lombard en roches rougeâtres et qui remonterait au VIII° siècle, ne subsistent que des ruines, quelques pans de mur de la chapelle dont la jolie muraille méridionale avec son arc cintré roman.

    

La photo de famille…. (la FURE est aux commandes)
 
 

       De ce sommet, s’offre à nous un magnifique panorama à 360° avec au loin les massifs de l’Alaric et de la Montagne Noire, les falaises de Montséret et de Thézan-des-Corbières, le massif forestier de Fontfroide, le mont St Victor derrière lequel pointe la « pica » du Canigou puis le mont Tauch. En contrebas, la plaine du Ségala rassemble les parcelles de vignes autour des nombreuses sources de la Caminade, de la fontaine des Tuiles et des anciennes verreries médiévales. En face de nous un joli mas entouré de vignes dont Marcel pense qu’il s’agit peut-être du domaine de Villemajou de son ami Gérard Bertrand. Enfin à l’ouest, la mosaïque de vignes et de friches de St André-de-Roquelongue, Montséret et Thézan-des-Corbières.
 
Le pic St Victor que la FURE et le CARIBOU ont déjà parcouru….
 
 
 

         Nous redescendons jusqu’au carrefour pour prendre la descente sur le versant sud-est de la pinède de la Vernèdre ou nous ne tardons pas à rejoindre nos deux compagnons qui auront malheureusement loupé le plus beau moment de cette rando.

     Nous atteignons la DFCI 01 qui nous mène à une grande cabane de chasseurs, ouverte aux randonneurs, garnie sur une quinzaine de mètres de long d’accueillantes tables. La Fure, qui n’a pas émis la moindre plainte, commence à boîter bas surtout depuis l’ascension vers l’ermitage. Et c’est spontanément que le chef suprême lui prête ses bâtons de marche afin de lui faciliter cette fin de rando.  Merci Marcel pour cette attention ; aucun de ces misérables n’aurait levé le petit doigt !

Tu as raison la FURE …. Tous des misérables !!!!

 Sympa la maison des chasseurs….



      Après avoir franchi un gué submersible nous continuons sur le DFCI 15 sur environ 400 m puis une petite piste à droite sur pratiquement 1 km au milieu de vignes et de friches jusqu’à un carrefour bordé d’immenses cyprès. Là nous tournons à droite en direction indiquée de la métairie du Coude.  Toujours au milieu des vignes, nous contournons une petite butte boisée pour apercevoir la métairie maintenant toute proche.

      Patoufet et la Fure optent pour le trajet direct alors que le reste de la troupe choisit la boucle qui revient au Parking par le chemin emprunté par erreur ce matin au delà du gué de la Caminade. A la métairie, nous taillons une bavette qq minutes avec un habitant du lieu au fort accent britannique  et néanmoins fort sympathique. Arrivés aux voitures, à peine le temps de nous changer et de préparer la table que voici nos compagnons qui touchent également au but.
 
Et enfin le moment sacré….
 
 

      C’est maintenant l’instant magique de la sainte flasque toujours agrémentée de la chiffonnade de jambon de Patoufet et des olives de l’Okapi. Et bien sur une pensée émue pour notre Loulou qui pendant ce temps fonce et se défonce sur le Cami de Santiago.
 Nous pensons à Louis sur les chemins de Compostelle….
Revigoré par ces nourritures terrestres mais aussi par la satisfaction du devoir accompli, l’humeur des Vambes retrouve le zénith, autorisant quelques « bestièses » plus ou moins grasses qui viendront épicer cet agréable pique-nique.

     Mais maintenant que le ciel s’est couvert et que le vent a forci, nous ne tardons pas à être transis et décidons de lever l’ancre, il est tout juste 14 h.

     Sur le chemin du retour, nous effectuerons un léger détour pour admirer de plus près la silhouette majestueuse du château St André de Toques, perché sur une petite colline et situé à qq hectomètres du village de Roquelongue. Ce château, propriété privée peut se visiter et sert de lieu de réceptions et de séminaires.
 
 Le Château St Martin de TOQUES date du XIème siècle….
 
 
Et puis c'est le départ.

    Puis c’est le retour en douceur à Villelongue vers 16 h   grâce à nos deux remarquables chauffeurs.         Encore une belle et conviviale journée pour nos Vambes  dont il faut bien constater la lente mais rédhibitoire décrépitude.

     A bientôt Companys pour de nouvelles aventures.

      Amicalement.               La Fura

 

 

                                

 

       

 

lundi 6 mai 2019





 


 

 


 

 




 Le ROC de Majorque


                                (texte: Pierre DELPUECH)
(Photos et montage Marcel ROUILLÉ)


                                  Vendredi 29 mars 2019



                  




 






 


PARTICIPANTS : Marcel ROUILLE dit Le Caribou (Voiture)



Pierre DELPUECH dit Le Lynx ( Chef du jour et Viennoiseries)  





Jean Pierre FLAJOLET dit Le Cabrit




Michel BARTOLI dit l’Okapi






 


Distance:12 kms ( sera raccourci à environ 9/10 km)

Durée: 4H



Dénivelé     :   430 m


Difficulté: moyenne







 






A 7 h 30 nous nous retrouvons chez le Caribou et prenons, après une halte à la boulangerie, la direction de Sainte Colombe.

 

Une fois la voiture garée sur le parking extérieur au village et les viennoiseries dégustées nous attaquons de pied ferme la rando.




La marinade souffle fort et il fait un peu frisquet. Il est 8h45.
Celle-ci commence par la traversée d’une partie du charmant village de Sainte Colombe de la Commanderie que nous quittons assez rapidement pour prendre une piste en terre suivie d’un sentier caillouteux qui nous mène aux ruines du Cortal Noell.



 
Le CORTAL d'en NOELL
Nous continuons à grimper au milieu de la garrigue. A un moment donné le topo-guide offre deux possibilités. C’est à ce moment que nous rencontrons deux amateurs de treak qui nous donnent quelques conseils éclairés que bien entendu nous interprétons à notre manière. Ceci nous conduit à prendre quelques libertés avec le parcours de C. Levillain.

 
                             Paysage des ASPRES

Petite pause devant le Canigou….

L'œil avisé du Lynx et de l'Okapi….

En fait au lieu de suivre le sentier à flanc de montagne qui mène à Castelnou nous attaquons bille en tête un raidillon qui va nous conduire au sommet d’une colline qui domine le plateau de Majorque.

 

Heureusement un petit mur de pierres placées en demi-cercle nous abrite de la marinade qui souffle plein pot. Le lieu est idéal pour la pose hypo. Nous avons la visite d’un chien bientôt suivis par deux charmantes gazelles avec lesquelles notre ami le Caribou sympathise immédiatement.

 
Alors que Jampy fait la chaise comme au coaching

Une fois restaurés et abreuvés nous continuons sur le plateau par un sentier qui nous mène au sommet du Roc de Majorque qui domine le Château et le village de Castelnou.

 
Et nous voilà au ROC DE MAJORQUE….
Qui domine CASTELNOU….

Nous découvrons les bases des murs d’une ancienne forteresse et le point de vue magnifique à 360° sur la plaine du Roussillon, les montagnes la chapelle Sant Marti de Camélas et bien entendu l’inévitable Bugarach.

 

 
Les paysages sont superbes
 
Nous quittons la plateforme médiévale et suivons un sentier traversant la garrigue qui descend vers la gauche dans une combe et passe devant une ancienne carrière de marbre blanc.

 

La balade se poursuit sur une piste plus large qui longe l’immense carrière de granulat. A un carrefour rencontre avec deux couples de randonneurs qui nous conseillent de prendre la piste parallèle bordée de Pins.

 


La traversée du bois débouche sur une zone dégarnie parsemée d’arbres où trône l’Alzine de Paul. Après avoir bifurqué à gauche et longé un bois de pins nous rejoignons la route qui nous ramène au village.

 
Le romantisme de l'Okapi….

Nous décidons d’aller déjeuner à Castenou car nous avons le souvenir d’un coin sympa avec des tables prés de l’église.

 

Nous nous y rendons à bord de la « Duster » conduite de main de maître par le Caribou. C’est enfin l’heure de la Sainte Flasque agrémentée de quelques olives qui, oh miracle, trouvent grâce auprès des papilles de notre chef suprême.

 


Une fois le repas avalé, retour à la case départ à Villelongue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 








 


 

 


 

 




             Le plateau de Majorque




   (texte: Pierre DELPUECH)

(Photos et montage Marcel ROUILLÉ)




                     Vendredi      29 mars       2019




 






 






PARTICIPANTS     : Marcel ROUILLE dit Le Caribou (Voiture)






                            Pierre DELPUECH dit Le Lynx  ( Chef du jour et Viennoiseries)




Jean Pierre FLAJOLET dit Le Cabrit




Michel BARTOLI dit l’Okapi






 






Distance     :     12 kms ( sera raccourci à environ 9/10 km)






Durée         :    4H






Dénivelé     :   430 m






Difficulté    :   moyenne






 






            A 7 h 30 nous nous retrouvons chez le Caribou et prenons, après une halte à la boulangerie, la direction de Sainte Colombe.

 

Une fois la voiture garée sur le parking extérieur au village et les viennoiseries dégustées nous attaquons de pied ferme la rando.

La marinade souffle fort et il fait un peu frisquet. Il est 8h45.

 

Celle-ci commence par la traversée d’une partie du charmant village de Sainte Colombe de la Commanderie que nous quittons assez rapidement pour prendre une piste en terre suivie d’un sentier caillouteux qui nous mène aux ruines du Cortal Noell.

 

Nous continuons à grimper au milieu de la garrigue. A un moment donné le topo-guide offre deux possibilités. C’est à ce moment que nous rencontrons deux amateurs de treak qui nous donnent quelques conseils éclairés que bien entendu nous interprétons à notre manière. Ceci nous conduit à prendre quelques libertés avec le parcours de C. Levillain.

 

En fait au lieu de suivre le sentier à flanc de montagne qui mène à Castelnou nous attaquons bille en tête un raidillon qui va nous conduire au sommet d’une colline qui domine le plateau de Majorque.

 

Heureusement un petit mur de pierres placées en demi-cercle nous abrite de la marinade qui souffle plein pot. Le lieu est idéal pour la pose hypo. Nous avons la visite d’un chien bientôt suivis par deux charmantes gazelles avec lesquelles notre ami le Caribou sympathise immédiatement.

 

Une fois restaurés et abreuvés nous redescendons sur sur le plateau par un sentier qui nous mène au sommet du Roc de Majorque qui domine le Château et le village de Castelnou.

 

Nous découvrons les bases des murs d’une ancienne forteresse et le point de vue magnifique à 360° sur la plaine du Roussillon, les montagnes la chapelle Sant Marti de Camélas et bien entendu l’inévitable Bugarach.

 

Nous quittons la plateforme médiévale et suivons un sentier traversant la garrigue qui descend vers la gauche dans une combe et passe devant une ancienne carrière de marbre blanc.

 

La balade se poursuit sur une piste plus large qui longe l’immense carrière de granulat. A un carrefour rencontre avec deux couples de randonneurs qui nous conseillent de prendre la piste parallèle bordée de Pins.

 

La traversée du bois débouche sur une zone dégarnie parsemée d’arbres où trône l’Alzine de Paul. Après avoir bifurqué à gauche et longé un bois de pins nous rejoignons la route qui nous ramène au village.

 

Nous décidons d’aller déjeuner à Castenou car nous avons le souvenir d’un coin sympa avec des tables prés de l’église.

 

Nous nous y rendons à bord de la « Duster » conduite de main de maître par le Caribou. C’est enfin l’heure de la Sainte Flasque agrémentée de quelques olives qui, oh miracle, trouvent grâce auprès des papilles de notre chef suprême.

 

Une fois le repas avalé, retour à la case départ à Villelongue.