lundi 29 février 2016

VENDREDI 26 FEVRIER 2016 – RANDO LA TOUR DE LA MADELOC.
(Texte : Marcel ROUILLÉ)
(Photos : André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)

Distance : 8 km
Dénivelé : 450 m
Durée : 4 h 15 hors pauses
PARTICIPANTS : Pierre DELPUECH dit le LYNX (Chef du jour)
                             André ROSAT dit la FURE
                             Jean Louis GRACIA dit PATOUFET
                             Marcel ROUILLÉ dit CARIBOU (voiture).

UNE RANDO PANORAMIQUE ENTRE CIEL, MER, ET VIGNOBLES ….
« I AMB UNE PUJADA D’AQUEIXES » !!!!

Marcel et André, en compagnie du TICO avait parcouru ce circuit, le jeudi 7 janvier 2011. Surpris par la neige dès leur arrivée à la Madeloc, ils gardent ce souvenir de neige et de froid qui les avaient transis.

Par contre ils n’ont gardé aucun souvenir du dénivelé, ou des paysages, cachés par ce temps de neige.

Ce vendredi 26 février 2016, nous sommes accompagnés par une météo maussade, et c’est sous une petite bruine que nous dégustons les viennoiseries offertes par la FURE. Un sort serait-il jeté sur ce parcours de la MADELOC ?

Mer et vignes seront omniprésents sur cette RANDO.

Le traditionnel "CHANGÉ" de chaussures, toujours dans la bonne humeur.

Départ sous la bruine....

A 8 h 50 nous démarrons sac au dos, du col de la SERRA (340 m) et Patoufet interroge Marcel sur la difficulté de cette Rando !!!
COOL répondra le CARIBOU, un petit sentier facile qui serpente dans la montagne, confirme la FURE.
La mémoire est courte les amis : A peine partis du col de la SERRA, et dépassé la cabane des chasseurs, c’est une grimpette plus que musclée, qui nous dirige vers la batterie de TAILLEFER.


En bas, la cabane des chasseurs et le col de la SERRA.... Pour nous, ça grimpe dur !!!

Ce sentier escarpé dans la roche, grimpe sans arrêt, et rend le souffle court. Heureusement, la bruine s’est arrêtée, car les rochers devenaient glissants.
A ce jeu, la FURE qui grimpe tel un isard, est loin devant, suivi de près par le Lynx qui monte bien.
Le CARIBOU ferme la marche, loin derrière, arrachant quelques râles dont il a le secret.
Au cours de ses nombreux arrêts de récupération, il aura tout loisir de contempler le paysage, et quels paysages !!!!

COLLIOURE...

ST ELME et PORT-VENDRES....

PORT ARGELES et le LITTORAL...

La batterie de TAILLEFER est en vue pour la FURE et le LYNX...

Sous la batterie de TAILLEFER, les hommes de tête nous attendent. Deux sentiers sont indiqués.
La FURE et Patoufet prendront le sentier montant qui amène directement à TAILLEFER.

Patoufet à TAILLEFER.

Les cousins Pierre et Marcel prendrons le sentier qui contourne le mamelon, et qui par bonheur, nous fait découvrir le refuge de Madeloc que nous ne connaissions pas. (Nous n’échapperons pas cependant à l’ingratitude de Patoufet qui nous a gratifiés de « cousins fainéants ») !!!

Le beau refuge découvert par Marcel et Pierre...

Ce refuge offre une vue inégalable sur la côte vermeille, et le vignoble de Banyuls.

Devant le refuge, le CARIBOU est en extase et en phase contemplative...

Le beau vignoble de Banyuls...

C’est ici que nous ferons la pause hypo, pendant que Pierre décide de faire l’aller/retour jusqu’à la batterie de TAILLEFER (peut-être vexé par les qualificatifs de Patoufet) !!!

André et Jean Louis nous rejoignent au refuge pour la pause hypo.

La délicieuse pause hypo !!!

Après cette pause bienfaisante et oh combien appréciée, nous rejoignons le col de Taillefer à 465 m, et nous allons entreprendre la grimpette vers la Madeloc située à 651 m.

La Madeloc est en vue....

Pierre attaque la montée du col de TAILLEFER vers la MADELOC...

La montée est raide. En arrière plan, le refuge de Madeloc sous la batterie TAILLEFER. A droite une fumée de sarments qui nous indique que le vent souffle de SUD-EST.

A son approche, la tour est impressionnante.



Cette construction médiévale remonte au XIIIème siècle. Elle servait de tour de guet et assurait la communication par un système de feux avec les autres tours à signaux (Saint ELME, MASSANE etc…).
Patoufet nous fait remarquer qu’elle n’a pas perdu sa fonction, puisque aujourd’hui, elle sert de relais de télécommunications, ce qui gâche le site avec toutes les antennes.
Heureusement, sa situation nous offre un point de vue unique.

Coté nord...

Coté sud...

La photo souvenir...

Vue sur Banyuls...

Vue sur le vignoble...

Le seul regret est de ne pas avoir vu le pic de SAILFORT, enveloppé par des nuages bas.

Pic du SAILFORT sous les nuages...

Le FORT DE LA GALLINE au dessus de COSPRONS...

Tout à une fin, on quitte les lieux...

Au niveau de la tour, nous rencontrons un couple de promeneur, qui fera l’objet d’un pari entre la FURE et le CARIBOU.
A ce jeu, c’est toujours la FURE qui perd, et PATOUFET et le LYNX se lèchent les babines à l’idée de profiter d’un foie gras !!! Les risques étant toujours pour la FURE et le CARIBOU.

Par le petit chemin sinueux, nous descendons vers la batterie 500, puis encore plus bas nous devons retrouver le GR 10 à la côte 430 m.

La batterie 500....

Jonction avec le GR 10 et direction col de FORMIGA et VALLAURIA.

Nous traversons un éboulis...

Et un vieux mas en ruines...

Le GR 10 nous fait remonter jusqu’au col de FORMIGA à 517 m.

Arrivée au col de FORMIGA 

Il est 12 h 40 et nous décidons que ce sera le lieu de pique-nique.
De ce col, nous avons une jolie vue sur la plaine, et sur la tour MADELOC qui nous surplombe.

Pique-nique sous l'oeil de la Madeloc..

Santé les amis !!!

Flasque, photos, texto aux absents, animeront ce moment convivial, un peu raccourci par la fraîche T° qui nous donne les « FITES » au bout des doigts.

Le moment royal....

Avec le bisou de Patoufet aux absents....

En plus, pas de café pour se réchauffer !!!

A 13 H 15 nous repartons en direction du col de VALLAURY (420 m), où nous laisserons le GR 10 (13 h 35) pour emprunter le chemin de l’eau en direction du col de la SERRA distant de 3 km, par un sentier horizontal.

Retour sur sentier horizontal...

A 14 h 45 nous retrouvons la cabane des chasseurs et le col de la SERRA, la boucle est bouclée, et les 4 VAMBES sont ravies de retrouver la voiture, de s’alléger des chaussures de RANDO, et d’avoir bénéficié le long de ce parcours, de panoramas inoubliables.

Retour à la cabane des chasseurs...

Et à la voiture.

Marcel propose de suivre la route des vignobles jusque à Banyuls, pour profiter encore de cette belle journée.
Cette petite route panoramique, mais étroite et aux ravins vertigineux, nous dévoilera le STRESS vécu par notre ami le LYNX, saisi de vertiges, et accroché aux poignées de la TOYOTA…… Lui apparemment si calme !!!!
Ce détour nous permettra de repérer le départ de la piste qui mène au col de TAILLEFER, et qui donne accès au refuge de MADELOC !!!! On ne sait jamais.

C'est au niveau de ce casernement que démarre la fameuse piste, sur la droite.

En face, une belle table d'orientation .....

Et une belle vue sur le FORT DE LA GALLINE.

Place maintenant à une petite halte rafraîchissante à Banyuls, offerte par la FURE omniprésente, mais il ne faut pas trop traîner, l’USAP joue à 19 h.

Avec la bonne humeur habituelle.... C'est formidable !!!


Marcel le CARIBOU.













mardi 23 février 2016


VENDREDI 19 FEVRIER 2016 – RANDO LA VALLEE DE LA ROME

                            (Texte : Marcel ROUILLÉ)

            (Photos : André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)

 

Distance : 14 km

Dénivelé : 450 m

Temps hors pauses : 4 h

PARTICIPANTS : JL GRACIA dit Patoufet (Chef du jour)

                             Pierre DELPUECH dit Le Lynx (voiture)

                             Jo GIRONELLA

                             André ROSAT dit La Fure

                             Marcel ROUILLÉ dit Le Caribou

 

UNE RANDO PAYSAGERE ET CULTURELLE, MENÉE DE MAIN DE MAÎTRE PAR NOTRE CHEF… D’ORCHESTRE !!!

 

Cette journée qui marque le retour du Caribou et de Patoufet, s’annonce riche en évènements, et sous une météo exceptionnelle pour un 19 février.

Dès le RDV matinal chez le Caribou, où nous enregistrons la ponctualité du Lynx, notre ami Patoufet est désigné Chef du jour, un rôle qu’il va prendre à cœur, se concentrant pendant tout le trajet sur l’étude du topo-guide. Enfin un Chef qui bûche !!!!
 
Aussitôt nommé, le Chef du jour PATOUFET 1er est libéré de son "BOULET".

Il est 9 h lorsque nous démarrons devant la Mairie des CLUSES, après avoir dégusté les viennoiseries offertes par le Caribou.
 
 

La commune des CLUSES (CLUSE basse et CLUSE haute) se situe dans un véritable goulot d’étranglement, surplombé de part et d’autre de la vallée par deux fortifications Romaines : Le fort romain des CLUSES hautes, et la fortification Romaine dénommée le Château des Maures.
Les CLUSES HAUTES....
La Chapelle Saint Nazaire....
 
Jo et Patoufet en admiration dans ce joli hameau.

Ce passage étroit permettait de contrôler l’accès au col de Panissars, et au col du Perthus.

 

Le départ de la Rando nous fera traverser le fort des CLUSES HAUTES, et après un circuit de 14 km qui nous amènera au Fort de BELLEGARDE et au site de Panissars, nous traverserons à l’arrivée le Château des Maures. La boucle sera ainsi bouclée.

De notre point de départ, un chemin antique creusé dans le roc, nous conduit aux CLUSES HAUTES, et nous pouvons admirer la Chapelle St Nazaire.

Chemin creusé dans le roc.

Un sentier montant nous amène sous le viaduc de l’A9, et nous mesurons la nuisance sonore liée à l’autoroute, mais aussi la solidité architecturale de l’édifice.

Le chemin que nous empruntons, nous offre de magnifiques points de vue sur le Canigou à l’ouest, et sur le Pic de SAN CRISTAU à l’est.
Superbe Canigou....
 
ZOOM sur le pic de SAN CRISTAU (à droite).

Nous avions en son temps atteint le pic de SAN CRISTAU au cours d’une pittoresque randonnée, où, là-haut, le Caribou avait dû réduire à l’aide d’élastoplast, une fracture ouverte …..De la chaussure de la FURE !!!!

Nous contournons par l’arrière l’imposante pyramide de l’architecte Ricardo BOFFIL, qui marque symboliquement la frontière avec l’Espagne.

La pyramide BOFFIL.

Avant d’atteindre le pont médiéval, une petite pause hypo s’impose, nous marchons depuis 1h 15.

La sympathique pause hypo...


Le pont médiéval....
 
Un joli mas dans les Albères...

Sous un ciel bleu, nous nous rapprochons du Perthus...

Après avoir traversé le pont médiéval, nous arrivons au Perthus, et Patoufet s’inquiète de voir haut perché, le Fort de BELLEGARDE qu’il faut rejoindre.

Dans cette montée, la hanche de notre Chef du jour donne quelques signes de faiblesse, le ballotant de gauche à droite, mais c’est du côté du cœur qu’il va se plaindre, et nous donne quelques inquiétudes.
Patoufet nous inquiète....

Doc la FURE lui impose une halte de récupération, et nous voilà repartis en direction du fort.


Le fort est en vue, encore une grimpette

Un rapide tour du propriétaire, nous offre un joli panorama, et Patoufet se targue de n’avoir commis aucune faute d’orientation jusque- là.
 
La FURE à l'entrée du fort de BELLEGARDE...
 




Le Canigou vu de BELLEGARDE...
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L'entrée principale du fort..
 
Vue sur la pyramide de BOFFIL.

En arrière plan des VAMBES: Le pic de SAN CRISTAU.

Les VAMBES acquiescent, tout en se remémorant les performances déplorables des Chefs du jour des sorties de janvier.

Du fort de BELLEGARDE, nous surplombons le col de PANISSARS, la ville de La JONQUERES et l’AMPORDAN, mais aussi toute la plaine du Roussillon et la table du Mont TAUCH.
 
Vue sur la JONQUERES
 
Vue sur le site de PANISSARS.
 
Après cette brève visite, il faut rejoindre le site de Panissars.

LE COUP D’AUTORITÉ DU CHEF

Les VAMBES marquent une hésitation sur le choix du sentier.

La FURE prétend qu’il faut rejoindre un carrefour de pistes un peu plus bas !!!!

Le Caribou se souvient d’un aller/retour après s’être égaré !!!

Notre Chef du jour, sans aucune hésitation, balance : Qui est le Chef du jour ?

Et devant un silence de carpes, il poursuit : Suivez-moi….

Et après avoir longé un chemin herbeux qui nous amène devant un fortin avec ses deux demi-bastions, défendus par des fossés, nous bénéficions d’un espace paysager de qualité.
Nous quittons le fort de Bellegarde...
Le fortin....
Et ses fossés défensifs.
Vue sur la redoute de Panissars.

 Nous voilà dans une petite sente très descendante qui nous conduit directement au pied de la Redoute de Panissars, construite en 1678.
Tiens !!! C'est rare pour la saison.... Un ciste en fleur sur le sentier descendant.

Et en bas du sentier, nous arrivons au pied du cimetière du Souvenir Français et de la Redoute....

Inutile de vous préciser qu’on ne tiens plus PATOUFET, fier comme Artaban, et s’auto-encensant de qualificatifs pompeux, mais tout de même mérités !!!

Nous passerons une bonne demi-heure sur le site de Panissars, que nous comprenons mieux après la brillante conférence de Monsieur CASTELLVI sur la voie DOMITIA.

Les VAMBES sur le site.

Nous sommes sur un lieu historique, où, il y a plus de 2000 ans, ce lieu marquait la fin de la voie Domitienne qui reliait ROME à Panissars (1431 km), et le début de la voie AUGUSTA, qui reliait Panissars à CADIX (1298 km).
 
C'est ici que se rejoignent la voie DOMITIA et la voie AUGUSTA.

Les recherches archéologiques confirment le passage de la voie DOMITIA en 120 à 117 avant JC au col de Panissars, ainsi que les vestiges du trophée de POMPÉE, un monument de 40 m de haut, érigé  à la gloire du général romain au retour de ses victoires en Hispanie, en 71 av JC.
La FURE en hauteur pour mieux contempler le site...
La trace laissée par les chars Romains...
Impressionnantes traces...
Une plaque commémorative rappelle que ce lieu a été aussi le passage de nombreux Républicains Espagnols de la RETIRADA.

Il ne reste pas grand-chose de ce monument, car les lieux ont été largement remaniés en Prieuré, entre 1000 et 1659.

 

Ils ont ensuite servi de carrière pour l’édification du fort de BELLEGARDE.

Il est 12 h 30, et du col, nous suivons une piste vers le mas BARDES que nous dépassons.

Le mas BARDE.

Nous traversons une belle forêt de chêne liège, et le Canigou immaculé, est superbe.
 
Les chênes liège...
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Et le Canigou...

 

Notre Chef PATOUFET nous fait à nouveau une petite alerte, peut-être cardiaque, mais on ne le trouve pas trop « BLANQUINOUS ».

Patoufet et le Lynx

DOC LA FURE EST INQUIET !!!

En fait, nous réalisons que l’heure de la flasque est toute proche, et que les mandibules de notre Chef (du jour ou d’orchestre) tricotent dans le vide.

Là, il est urgent de nous poser pour le pique-nique, il est 13 h, STOP dira le Chef.

Patoufet qui a retrouvé sa verve dès la première flasque, demande de lever nos verres à la santé de Vincent (qui est au turbin), et du CABRIT et de l’OKAPI absents pour escapade Parisienne. Ça c’est un chef.

Le regard autoritaire du Chef !!!

En fait, on ne sait pas trop où sont nos absents, l’un serait en quête du bourreau de BETUNE, et l’autre de Miquel- Ange !!!!

Le CARIBOU, qui n’a pas trop parlé jusqu’ici, fait valoir sa position de Chef Suprême pour demander avec insistance à Patoufet de faire des examens médicaux type test à l’effort.

Tel un druide, Patoufet étudie la situation....

Pas de problème répondra ce dernier, je demande que le test soit fait au « PARADISE » et je paierai avec la carte bitale (avec une b alte).

Bon, rien ne sortira du sentier des randonneurs, et le pique-nique reste le moment ROYYYAL de notre randonnée, agrémentée par l’arrivée de 4 visiteurs.

Encore un coin sympa pour le pique-nique...

La FURE innove dans le mode alimentaire ? Laissons faire notre imagination....

Aujourd'hui, le Lynx n'aura pas droit au moment de sieste... Nous avons été dérangé par un visiteur...

Et quel beau visiteur....


Suivi de toute sa famille.... En fait ce sont les seules rencontres faites durant toute la randonnée !!!! Dormez tranquilles nos épouses !!!
 

A 13 h, l’équipe démarre, au grand DAM de notre ami le Lynx qui n’a pas eu droit à sa petite sieste.

En avant toute.... Les muscles sont engourdis après le pique-nique.

Un zoom sur la vallée d'en face où nous étions ce matin, nous fait prendre conscience de la saignée occasionnée par l'autoroute sur la qualité paysagère et patrimoniale des Albères.... Vie moderne oblige !!!!

Heureusement, côté nord, notre compagnon de randonnée "LE BUGARACH" que nous n'avions pas vu de la journée, enveloppé dans son cache-nez, se dévoile maintenant pour le plaisir de nos yeux.

Trois VAMBES prennent les devants, tandis que Pierre et Marcel s’attardent sur les ruines du Château des Maures, un important édifice qui fait face au fort Romain des CLUSES HAUTES de l’autre côté de la vallée.

Nous traversons les ruines imposantes du Château des Maures...

 

Nous réalisons aussi l’importance stratégique du contrôle de ce verrou.

Un sentier caillouteux et très descendant nous conduit sur la rive gauche de la Rome, où la ripisylve est encombrée, et c’est ici que le groupe de tête nous attend.

Petite pause au bord de la Rome....

Nous savons qu’il faut dans un moment traverser la rivière, sans être sûr de l’endroit.

Les eaux cristallines de la Rome.

Notre Chef en position trop avancée, nous dira qu’il s’est trompé volontairement, pour nous tester, et nous le croyons sur parole.

Nous traversons la Rome.

Après avoir traversé la Rome, un sentier agréable nous conduit jusqu’au magnifique pont Romain des CLUSES BASSES, à une centaine de mètres de notre point de départ.

Un sentier herbeux nous conduit près de l'arrivée....

Et voilà le pont Romain des CLUSES BASSES, la boucle est bouclée, nous avons avalé les 14 km de la randonnée, sous la conduite sans faute de notre ami PATOUFET !!!

 

Après quelques étirements, et un changement de chaussures apprécié, Patoufet qui a retrouvé son attribut de boulet, résume la qualité de sa prestation de Chef du jour, et propose de nous offrir les rafraichissements au Boulou.

PATOUFET a retrouvé ses attributs...

Fier de sa prestation, il ne laissera personne offrir la tournée des rafraichissements...

SANTÉ !!! Les VAMBES.

Encore une très belle journée pour les VAMBES, et chacun s’accorde à vanter les mérites de notre Chef du jour PATOUFET 1er.

Un grand merci à Pierre le Lynx qui nous a conduit avec confort et en toute sécurité.

 

Bien amicalement

Marcel.