VENDREDI 7 MARS – RANDO PONT DE
REYNES LE CHEMIN DES MAS.
Distance :
10 km 500
Dénivelé :
170 m (La bonne blague)
Durée :
4 h
PARTICIPANTS :
Vincent ROUZÉ (Chef du jour)
Michel BARTOLI
Marcel ROUILLÉ (voiture).
ELLE
EST BIEN BONNE LA BLAGUE
C’est sur
le petit livre des Randonnées en bas Vallespir, que Marcel a dégoté cette belle
randonnée. Après les 280 m de dénivelé de la semaine dernière, cette
proposition à 170 m s’avérait avenante !!!!! Nous verrons la suite…..
Michel
s’est occupé des viennoiseries, et nous voilà dès 10 h à notre point de départ
au Pont de Reynes, avec vue sur le bienvenu fleuve TECH.
Fier
comme ARTABAN, Vincent, topo guide en main, est bien décidé à nous conduire
sans faille pour cette randonnée.
Le
raidillon d’entrée n’est pas commode, sauf qu’il dure un peu trop au gout du
CARIBOU.
La
température de 9° au départ, montera rapidement à 18° avec un ciel bleu, et pas
une bribe de vent.
Refroidi
la semaine dernière par son imprévoyance vestimentaire, Vincent nous étale tout
son attirail : Bonnet, gants, anorak…etc. etc….
Manque de
pot, la météo de ce jour exigeait le TEE-SHEART, et même, en grande première,
Marcel a sorti la technique du « MOCADO » adaptée aux grandes
chaleurs !!!!!
Il faut
que les bleuets se forment …..Gageons que Vincent trouveras la bonne formule.
Les
sentes ombragées sont agréables, et nous faisons quelques rencontres, il faut
dire que cette journée printanière est propice aux randonneurs, et seul le
Canigou, omniprésent à cette randonnée, nous rappelle que nous ne sommes que le
7 mars.
L’approche
du coquet village de REYNES que je découvre pour la première fois, nous
autorise une pause hydratation, afin d’éviter un mal bien connu de notre ami
Michel : Le syndrome du vieux Tarzan.
Au pied
de la moderne église, un banc et un magnifique chêne nous invite à un moment de
repos bien mérité.
Ce
village est un cul de sac, et bien tranquilles sont ses habitants, avec comme
gardien le majestueux Canigou.
Contrairement
à la grotte des TRABUCAYRES que nous n’avons jamais trouvée, nous n’avons pas
loupé cette grotte sans nom, aussi lugubre que dangereuse.
Nous
avons par contre loupé une soi-disant magnifique cascade……
MAIS LES BEAUX MIMOSAS SONT OMNIPRESENTS...
Bon, il
faut repartir, sur un sentier toujours grimpant, et nous découvrons de splendides mas, tel le mas
CASALS, ou le mas SANTOL, pour arriver au pont du moulin.
Là, un
lavoir abandonné, mais qui a du entendre au siècle dernier les coups de scie
des BOUGADERES de l’époque, attire notre attention.
Ce lavoir
est à l’ombre, et pourrait nous servir de coin pique nique sur la proposition
du Chef du jour. Il est 13h, et nous n’avons entendu aucune contestation.
La
chaleur et la distance nous invite à reposer nos muscles, et cette pause,
agrémentée par l’appréciable flasque et les gourmandises apéritives de Michel,
est la bienvenue pour ce moment tant attendu.
PRES DU LAVOIR, LE VIEUX PONT DU MOULIN...
ET LE MOULIN RESTAURE...
A 14 h le
signal du départ est donné, et mauvaise surprise peu appréciée par le Caribou,
nous allons attaquer une nouvelle partie montante. Putain que c’est dur après
le pique nique….
OUI C'EST DUR APRES LE PIQUE NIQUE...
L’arrivée
du col de Bousseils nous envoie sur une crête qui nous dévoile de magnifiques
paysages.
Légèrement
montante puis descendante, cette crête s’avère longue, et sous une chaleur
tenace, nous n’en voyons jamais la fin.
Marcel
est surpris que cette Rando donnée pour 170m de dénivelé soit plus fatigante
que la semaine dernière.
Bizarre,
et en plus Michel et Vincent ne conteste pas la remarque de Marcel.
VINCENT EST FASCINE PAR CE TYPE DE PORTAIL...
Après une
longue chevauchée, nous arrivons enfin au point de départ, au Pont de Reynes,
il est 16h et la boucle est bouclée.
C’est à
l’ombrage des grands platanes en terrasse du grand café de Céret, qu’avec
l’aide d’un demi, bien frais, nous allons savourer ce moment de récupération.
Tranquillement,
nous arriverons à Villelongue vers 18h, mais quelle belle journée avec un
irréprochable Chef du jour.
Vincent
nous avouera même que pour lui, c’est la plus belle rando, mais son expérience
VAMBISTE est bien jeune, et Marcel et Michel lui promette d’autres bons
moments.
Avant de
prendre sa douche, Marcel a toujours en tête un gros doute. Il feuillette ses
archives de Rando et trouve sur le magazine SORTIR, cette même Rando qui porte
un dénivelé de 470 m et non de 170 m comme indiqué par erreur sur le premier
document.
Ceci
explique cela…… ELLE EST BONNE LA BLAGUE !!!!!
Bien
amicalement
Marcel.
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