dimanche 2 mars 2014


VENDREDI 28 FEVRIER 2014 – RANDO PORT-VENDRES LE CHEMIN DE L’EAU.

 

Distance : 10 km

Dénivelé : 280m

Durée : 2h45mn

PARTICIPANTS : Marcel ROUILLÉ (voiture)

                              Vincent ROUZÉ

                              André ROSAT (chef du jour)

                               Michel BARTOLI

 

UNE RANDO SAUVÉE DES EAUX

 

La météo prévoyait le pire pour ce dernier jour de février, mais pas suffisamment pour décourager le groupe des VAMBES….. Et nous avons bien fait.

C’est la FURE nationale qui s’est occupé des viennoiseries, et une rencontre devant les vendanges des saveurs, avec un ancien international treiziste, a retardé notre départ.

PORT-VENDRES nous accueille sur la place de la CASTELLANE qui surplombe le port.

Les préparatifs sont exécutés selon un rituel bien rodé.
OPERATION CHANGEMENT DE CHAUSSURES...
 
PREPARATIFS AU COEUR DE PORT-VENDRES
 

Et nous voilà partis, il est 9h50 sous un soleil discret, sans vent, avec une douceur printanière qui incite Vincent à ne pas se couvrir, malgré les recommandations du CARIBOU.

La rue des paquebots nous amène par un raidillon sur les hauts de PORT-VENDRES.
Dès le départ, il faut monter...
 
UNE BELLE VUE SUR LE PORT
 

Un souffle mourant de tramontane nous enivre des senteurs de magnifiques mimosas qui surplombent le port. Un air doux nous enveloppe d’un bien être communicatif.
LES TRES ODORANTS MIMOSAS NOUS ENIVRENT....
LE FORT SAINT ELME.

Déjà, le fort St ELME est en ligne de mire, il faudra grimper pour mériter le point de vue qu’il nous offre. Aujourd’hui, pour nous offrir des cartes postales sur le joyau de COLLIOURE, et hier, pour informer les Rois de Majorque des invasions maritimes……. Mais que c’est beau !!!!!
ARRIVEE AU FORT SAINT ELME...
UNE VUE IMPRENABLE SUR COLLIOURE. (En bas la cave des Dominicains et sur la droite le moulin à huile).
LE MOULIN A HUILE.
 
 
VINCENT, MICHEL ET ANDRE NE VEULENT PAS QUITTER CE BELVEDERE...
EN PLUS LA BELLE LUMINOSITE NOUS PERMET DE VOIR LA BARQUE CATALANNE QUI PART EN MER.

D’abord à travers vignes, nous rejoignons un sentier bordé de chêne liège, et nous jugeons à la demande générale de Marcel qu’une pause de réhydratation s’impose.
 
LA PAUSE HYPO....
AVEC LE FORT SAINT ELME EN ARRIERE PLAN.

Au niveau du fort DUGOMIER, une erreur de parcours nous impose un supplément d’effort, mais JAMPY n’est pas là pour nous le faire remarquer (il est loin le « CHAMP LONG »).
LE TEMPS A BIEN CHANGE IL FAUT SE COUVRIR...

Nous arrivons maintenant au bien nommé le col de « MALACARE », le temps change subitement, un vent froid nous étrille, et nous oblige à sortir les anoraks ou autres vêtements chauds. André et Vincent sont partis devant, Vincent mal équipé, a froid, et voilà que le « TUE CHEVRE »(MATE CABRE pour les initiés), nous flagelle le visage. Cette punition va durer ½ heure avant d’atteindre le coin pique nique que notre ami la FURE avait repéré. Un havre de paix au milieu d’une forêt de chênes lièges, et une météo soudain radoucie pour nous laisser savourer ce délicieux moment.

A TRAVERS LES CHENES- LIEGE NOUS NOUS DIRIGEONS VERS LE COIN PIQUE NIQUE.
 
La flasque, la bonne humeur, et le ¼ d’heure politique sont au rendez vous, sans oublier la photo envoyée au CABRIT en train de se déchaîner au carnaval de Dunkerque.
 
QUE DU BONHEUR !!!!!!
 

Il est 12h40, et le pique nique peut combler notre appétit, aiguisé par cette demi heure de météo exigeante.

Vincent nous dit que pour lutter contre le « mate cabre » il s’est caché la moitié du visage avec son capuchon, l’obligeant à marcher comme un crabe, et à regarder d’un seul œil. CARIBOU lui indique qu’en marchant à reculons, il aurait pu utiliser l’œil fessier (l’ull del cul) en français.
 

Nous voilà repartis pour terminer notre boucle accompagnés selon la coutume par les trompettes de JERICHO.  

Afin de protéger la couche d’ozone, certaines communes interdisent ce type de klaxon dès qu’ils savent que la FURE est en randonnée.
ET VOILA LE STYLE DE PANNEAU A L'INTENTION DE LA FURE..... ICI DE DOS !!!

Fatigués mais heureux, la boucle est bouclée et nous n’avons plus qu’à changer de chaussures, et se délasser au bord du port, avec un délicieux café offert par Vincent.
A L'ARRIVEE MARCEL EST UN PEU FATIGUE.
LE CAFÉ OFFERT PAR VINCENT VA NOUS RECONFORTER...

Mais, ce n’est pas fini, Marcel insatiable propose un évènement culturel à la cave des Dominicains à COLLIOURE. Il faut dire que l’OKAPI était chargé de mission par Brigitte pour s’approvisionner en excellent vinaigre.

Et nous voilà débarqués à la cave des Dominicains où est exposée la magnifique cloche en bronze, offerte par les vignerons, d’un poids de 280 kg, destinée à coiffer le clocher, dès sa restauration terminée.
UN VERITABLE MOMENT CULTUREL
 
LA CLOCHE RESTERA EXPOSÉE JUSQU'AU MOIS D'AVRIL.

Marcel s’occupe de faire visiter la cave (qu’il connait bien pour y avoir exercé), visite qui se termine par la salle des foudres où murissent les vieux BANYULS.
 
 
SOUS LES VOUTES C'EST ICI QUE LE BANYULS VIEILLIT.
 
 
LA CAVE DES DOMINICAINS EST AUSSI UN MUSÉE.

Le tout se terminant par une délicate dégustation proposée par le Président Francis POUS, adepte et fin connaisseur des anecdotes vigneronnes autour de COLLIOURE.

Ainsi se termine une fort belle journée avec ce circuit proposé par André la FURE.
LAISSONS LA NATURE REPRENDRE SES DROITS........

Bien amicalement

LE CARIBOU.       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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