lundi 21 décembre 2015



            LA GROTTE DES TRABUCAIRES
                   ET LE PIC DES SALINES
             …UNE RANDO UN PEU  SALEE

(Texte: André ROSAT)
(Photos: André ROSAT et Marcel ROUILLÉ).



                                                                                                                       Vendredi 4 décembre 2015

      Distance : 14 km
     Dénivelé : 600 m
     Durée : 5 h 30                    

             Participants :   Michel BARTOLI dit l’Okapi
                                      Pierre DELPUECH dit le Lynx
                                      Jean-Pierre FLAJOLET dit le Cabrit  ( voiture )
                                      Jean-Louis GRACIA dit Patoufet  ( voiture )
                                      André ROSAT dit la Fure, Chef du jour
                                      Marcel ROUILLE dit le Caribou


    Compte tenu  de l’enjeu importantissime de cette rando qui est de trouver enfin la fameuse grotte des Trabucaires, le choix judicieux d’un Chef du jour mature et compétent s’est clairement imposé dans la semaine pour cette grave mission et c’est tout naturellement sur la Fure que s’est porté ce choix. Merci de votre confiance , mes amis !

   Dès 7 h 30, les Vambes se retrouvent donc chez notre Laeder Maximo. Sauf  le Lynx qui respecte scrupuleusement son petit quart d’heure de retard. Une certaine tension est clairement palpable dans le groupe (sauf  le Lynx ) devant l’importance du défi qui nous attend. Ginou essaie gentiment de détendre l’atmosphère en nous faisant admirer la magnifique crèche « caribouesque » réalisée par leurs petits enfants qu’il faut féliciter.

Chez le CARIBOU, nous attendons Pierre qui aura finalement une bonne excuse pour expliquer son retard.

     Après la halte habituelle  chez Chantal, nous atteignons sans encombre les Fontaines de Fontfrède. Le plafond dans la plaine était particulièrement bas avec un peu de « boïre » mais en grimpant, au-delà de Céret,  nous sommes maintenant  au-dessus des nuages, sous un ciel bleu azur et ensoleillé ce qui permet à la Fure de réaliser quelques splendides photos  de notre Canigou.



Nous sommes au dessus d'une mer de nuages....

Que c'est beau....

   Les préparatifs sont rapidement pliés et les viennoiseries de la Fure  prestement englouties ; il faut dire qu’en plein nord et à l‘ombre, ça pince un peu.

A peine les viennoiseries englouties, nous attaquons un raidillon...



 A 9 h 45, c’est donc le départ avec d’entrée de jeu un raidillon « d’aqueixes » qui  a le don d’emballer le péristaltisme intestinal du Chef suprême. Le Caribou sollicite poliment un instant de recueillement et s’isole vers la gauche ; instinctivement le reste du groupe, autant par discrétion que par protectionnisme olfactif, s’engage sur le sentier de droite, tous respectueux  que nous sommes de cet intense moment de communion du Marcelou avec Dame Nature à laquelle il va confectionner avec amour,  un magnifique cairn d’engrais organique. Décidemment  les cairns sont une spécialité de famille chez les Caribous !
   Une fois terminé sa parenthèse méditative, Caganer  Marcel , bien allégé  et donc forcément plus lucide bat le rappel et nous enjoint vertement de reprendre le droit chemin.

Marcel retrouve le bon sentier.... Et le GR10..



 La Fure, le pauvre, ne fera pas l’économie d’une volée de quolibets désobligeants, émanant de quelques velléitaires aigris. Mais loin d’être déstabilisé par ces minables perfidies, le Chef du jour  va prendre la tête de l’expédition, position qu’il ne quittera plus de cette journée  qui sera, disons-le tout net, un parfait sans faute.
   Après être descendu puis remonté dans une grande hêtraie par un sentier incertain masqué par un épais tapis de feuilles mortes bien casse gueule, nous parvenons au Cortal d’en Jacques.

Pierre sur un sentier feuillu....

André au coeur d'une belle hêtraie...

Et sur ce terrain glissant, l'OKAPI en est à 3 de chute...

 Il faut alors emprunter à droite le G.R 10 pour nous diriger vers le Col del Pou de la Neu. Le parcours est assez chaotique et vers 11 h vient le moment bienvenu de la pause hypo à un carrefour de chemins ou Marcel , venu seul il y a quelques années, s’était égaré.

Progression du groupe sur un terrain accidenté..

   Ayant repris notre progression, nous finissons par atteindre une petite source et c’est là qu’il faut être vigilant !

Et voilà la petite source qu'il ne faut pas louper... (bravo le chef du jour).

 Nous devons tourner à gauche puis serpenter en zig zag par une belle grimpette avant de franchir une large combe puis continuer à grimper. Encore quelques efforts et peu avant midi  nous atteignons enfin notre graal du jour : la Cova dels Trabucaires qui n’est qu’un petit abri sous roche d’une dizaine de mètres de long constitué de deux branches reliées par un pertuis rocheux.  Vite quelques photos de groupe pour immortaliser la scène !

Le premier arrivé sur le site de la grotte, est la FURE qui a pris cette 1 ère photo.

Rapidement, nous visitons l'intérieur..

Le Lynx inspecte ces lieux historiques...

Ci-dessus et ci-dessous, deux superbes photos prises par le Lynx...Beau souvenir de la grotte des TRABUCAYRES.



Au pied de la grotte, Pierre le Lynx nous raconte l'histoire des MALAKOFF de la maison CEMOI.

Marcel ne résiste pas au plaisir de la dégustation, et présente les MALAKOFF offerts par Pierre.

    L’Okapi et la Fure sont apaisés : leur précédent échec est effacé à jamais !   Le groupe  prend alors la décision de continuer à grimper jusqu’ au col pour y faire notre pique-nique. En attendant un peu de repos s’impose. Et nous bénissons le Lynx qui nous régale le palais de quelques « Malakoff » , les vrais !

Pour s'éloigner de la grotte, il faut descendre ce que nous avons monté, et l'Okapi comme les autres doit s'accrocher aux branches....

    Après avoir regagné le G.R 10 au niveau de la petite source, nous reprenons la longue et éprouvante montée vers le col à travers la forêt au milieu de nombreux rochers.

Un dénivelé très rude.... Il faut s'aider avec les racines des arbres.

Un joli roc sur lequel s'installe le Lynx tel un aigle, nous offre un joli point de vue.

De temps en temps, le chef du jour fait un point de la situation. Nous sommes encore loin du col du puits de la neige où nous devons pique-niquer.

Du roc nous avons une belle vue sur le Canigou....

Et sur la vallée de la VALLERA.

 Nous longeons le pied de grandes falaises, franchissons un large éboulis,  apprécions le panorama de la Vallera dominée en arrière-plan par le majestueux Canigou puis repartons dans la hêtraie par un chemin toujours plus chaotique et pentu.


Nous longeons les falaises...

La pente devient très raide....

Nous traversons un énorme pierrier...

Marcel victime d'une HYPO est épuisé....

   Le souffle court, nous parvenons  à l’excavation du vieux puits à neige partiellement détruit et dont ne subsiste que la partie inférieure.

Nous arrivons enfin au puits à neige, au coeur d'une belle forêt de hêtres...



Une pause devant le puits....

 Les derniers hectomètres de l’ascension sont rudes, arrachant à certains des râles familiers. Et c’est un soulagement pour chacun de parvenir enfin au Col del Pou de la Neu à la frontière avec l’Espagne. Chapeau à Patoufet qui a été héroique !

Et enfin l'arrivée au col.

    Devant le vent assez violent et frais, nous choisissons un endroit bien abrité pour notre pique-nique. Il est 14 h et nous sommes « ben madurs ». La sainte et réparatrice flasque s’annonce la bienvenue. La troupe se régénère, se remplit la panse et retrouve vite sa bonne humeur. Après ces frugales agapes, certains s’évadent un instant dans les bras de Morphée mais il ne faut pas trop traîner car nous n’avons effectué que la moitié de la boucle.

Santé les amis....

Alors que le lynx se fait servir le café...

Patoufet s'abandonne à la sieste...

   A 15 h 15 , c’est le départ direction le Pic des Sa.. sa …sa… salines. Nous longeons un bon moment la frontière à travers genêts et fougères. ça grimpe sec et cette reprise post prandiale s’avère douloureuse. A partir du premier Pas del Cavall , le sentier devient plus chaotique pour ascensionner le pic par sa face nord.

En montant vers le pic, vue sur le lac de DARNIU côté Espagne.

Pic des Salines à 1333 m.


Le groupe au pic.


Vue sur le Canigou....

Vue sur les viaducs de la route d'Espagne...

    Et nous voici au point culminant de la journée qui nous offre un superbe panorama à 360° avec le massif du Canigou, la plaine du Roussillon, le Perthus et coté espagnol l’Ampurdan, le Lac de Boadella puis la Baie de Rosas dans sa brume. A l’autre extrémité de la plateforme, la boîte à lettres musicale se trouve  toujours à sa place mais vide de tout message.
   Nous plongeons maintenant dans la descente par le versant nord-est bordé de genêts et de genévriers. Il faut ensuite longer la ligne de crêtes jusqu’au deuxième Pas del Cavall et poursuivre notre longue descente.

Pause au carrefour des pistes..

    Une nouvelle pause s’impose à un carrefour de pistes ou , me semble-t-il,  nous avions pique-niqué une fois précédente. Mais le temps passe et il ne faut pas trop traîner. Nous finissons par atteindre le Col de Cireres. Les bavardages se font plus parcimonieux et les organismes sont un peu éprouvés.

Arrivée au col de CIRERES.

   La luminosité commence déjà à baisser lorsque nous rejoignons le Cortal d’en Jacques et  une vigilance accrue ne nous fera pas éviter quelques chutes ou glissades sur le tapis de feuilles masquant les difficultés du terrain.

La nuit nous attrappe sur la fin de la rando, rendant l'orientation difficile...


 Et c’est donc vers 17 h 30 alors que la nuit tombe que nous regagnons les bagnoles aux Fontaines. Nous avons notre dose et cela mérite quelques étirements sous la houlette du Caribou, chef de cœur.

Enfin les voitures.... Patoufet préviens sa jeune épouse..

Pendant que d'autres s'étirent...

Allez !!! Il est tard, on démarre.

   Fourbues mais satisfaites, les Vambes  ont aujourd’hui  enfin vaincu la malédiction de la Grotte et passé une bien belle journée. C’est donc les jambes lourdes mais le cœur léger que nous avons regagné en douceur et par  nuit noire  Villelongue vers 19h 15. Dormez tranquilles, mes bons amis, la Fure a veillé sur vous « tot el dia »
  A bientôt  pour de nouvelles aventures.
   Amicalement.

      La Fure



          

vendredi 18 décembre 2015

VENDREDI 11 DECEMBRE 2015-RANDO COL DE GUES A ARBOUSSOLS

(Texte et photos: Marcel ROUILLÉ)

Distance : 7,5 km
Dénivelé : 300 m
Durée : 2 h 15 hors  pauses

PARTICIPANTS : Michel BARTOLI dit l’OKAPI (voiture)
                               Marcel ROUILLÉ dit le CARIBOU (voiture)
                               JL GRACIA dit PATOUFET (Chef du jour)
                               JP FLAJOLET dit le CABRIT
                               André ROSAT dit la FURE

LA RANDO GRILLADE DE FIN D'ANNÉE 2015

En l’absence regrettée du Lynx, tous les participants sont à l’heure, et même un peu en avance au RDV.
Dès le matin, les VAMBES sont excitées à l’idée de la grillade qui va clôturer la RANDO de ce jour et l’année 2015.
Une rapide vérification de la logistique, permet de s’assurer que rien ne manque :
Patoufet s’est occupé des entrecôtes, André du foie gras entier cuit au torchon, et du VDN Ambré pour l’accompagner, Michel des viennoiseries de la fougasse, et du roquefort, et enfin Marcel et Jampy de la dive bouteille, des fagots, des souquets et du grill.
Aucun ingrédient ne manquait, y compris le tire-bouchon, le briquet et un vieil Indépendant.

Tout est bon, on peut s'arrêter chez Chantal.

Vers 9 h, nous débarquons à Arboussols, un charmant petit village des Fenouillèdes blotti dans un écrin de verdure et de belles collines.
Le secrétaire de Mairie que Marcel avait contacté la veille, nous rejoint pour nous remettre un plan de la randonnée, et nous conseiller pour un coin pique-nique qui nous fait déjà envie.
Et si on allumait le feu !!!! Lancera Patoufet déjà saisi de crampes d’estomac !!!
On le contentera avec quelques viennoiseries, et nous voilà partis sac au dos, il est 9 h 20.



Le sentier très agréable est montant jusqu'au col, et de nombreuses pauses nous permettent de contempler encore ce merveilleux Canigou.



La FURE un peu déboussolée et excitée comme une puce, va confondre la face nord et la face sud du Canigou et de sa cheminée.
Il est prêt à lancer un nouveau pari, que le Caribou lui refusera, pour lui éviter un nouvel échec. A croire que la Fure a pris goût à l’offrande d’un foie gras à chaque Rando.

Tiens !!! Que fait ce Père Noël perdu dans la montagne ? Peut-être cherche t-il la grotte des TRABOUCAÏRES ? Hélas, il ne la trouvera pas.... N'ayant pas encore vu le compte rendu de la FURE !!!

Les pauses sont favorables aux échanges et aux délires....

Nous arrivons au col de GUES à 10 h 45 pour une pause hypo bienvenue, et profitons des beaux paysages que l’altitude (810 m), nous permet d’observer jusqu'à la mer.

Arrivée au col de GUES (810 m).

Juste sur le col, un bel ORRI permettait au berger de s'abriter en cas de mauvais temps.

Le sentier maintenant descendant que nous empruntons à 11 h 10, nous fait découvrir une belle forêt de sapins, où nous croiserons un petit groupe de randonneurs (un homme et trois femmes).

C'est rare, nous croisons un petit groupe de randonneurs.

Une belle forêt.

Et de belles couleurs d'automne....

Patoufet et le Caribou ouvrent la discussion, et les font mourir d’envie de faire demi-tour pour profiter de notre programme gastronomique pendant que les trois autres Vambes filent devant.

Au lendemain de son anniversaire, la FURE est très sollicitée au téléphone.

A tel point, que nous avons zappé un écart de 100 m pour visiter la Chapelle Sainte EULALIE. Au motif que notre Chef du jour PATOUFET 1er était tiraillé par des crampes d'estomac...

Les cloches d’Arboussols sonnent les douze coups pour accompagner nôtre retour au village.
A 12 h 30, le bucolique coin pique-nique est investi. Il se trouve juste au dessous de la "COOPÉ" d'Arboussols !! Encore une dira l'Okapi. Nous disposons d’une table pour l’apéro, d’une table pour le repas, et d’une table pour la desserte et la cave à vins !!!! Que demande le peuple BDC !!!
Un ordre chronologique est rapidement établi :
D'abord l’apéro.
Ensuite, on allume le feu pendant qu’on déguste le foie gras.
Suivra la cuisson des entrecôtes sur la braise.
L’épisode du Roquefort (à la mode FURE) sur du pain grillé vaudra son pesant d’or.
Et nous terminerons par la fougasse aux fritons, accompagnée d’un bullotage version la FURE.
PUTAIN !!! Elle  n’est pas belle la vie…. Reprennent en cœur les VAMBES.
L’apéro fut terrible : A peine la flasque servie, que le verre de l’Okapi est renversé accidentellement sur la table, qui en léger dévers arrosera copieusement le cuissot de Patoufet.

ICI... ICI... C'est l'apéro.

C’est l’Okapi qui va prendre la marée, mais il n’est pas impossible que ce soit le geste brusque du Caribou qui soit coupable.
Les VAMBES sont en extase lorsque Marcel sort les glaçons…. Une grande première pour accompagner la flasque.
Dès que le feu est allumé, nous passons à TAPPPLE et le mariage du foie gras avec le Rivesaltes Ambré est un grand moment.

Royalement, André présente le foie gras (En arrière plan, la cave à vin !!!).

Découpe d'un morceau adapté à la mesure des gencives de Patoufet.

L'OKAPI n'est pas en reste....

Et voici le torchon du foie gras que nous gardons pour notre ami le Lynx !!
Joyeux anniversaire la FURE.

L’excitation est déjà grandissante, et nous avons du mal à maîtriser la FURE qui commence à délirer avec ses fous rires.
Voici venu le temps des entrecôtes, et Patoufet dans un élan de solidarité en a compté 6 pour que le Lynx ne soit pas oublié.

Nous avons bien 6 entrecôtes sur le grill !!! Merci PATOUFET.

Bien entendu, l’entrecôte du Lynx sera méticuleusement partagée entre les cinq VAMBES présentes. (Quand on dit que les absents ont toujours tort !!!).

Une belle "taple" de pique-nique...

La viande grillée fut un délice. Tendre à souhait, fondante en bouche et exhalant un goût savoureux de revenons y, elle a parfaitement accompagné le Cahors 2009 et le Château de Calce 2012, générant un mariage heureux.

Place à la SAGA du Roquefort !!!!

André avait demandé un roquefort moelleux et bien garni de vert….
Michel a ramené un roquefort dur et pâle !!!! Au grand désespoir de la FURE qui devient venimeuse à souhait !!!!
Voilà notre tandem OKAPI/LA FURE en atelier, pour exécuter la recette de la Fure, dite du « pain grillé et son Roquefort fondu », qui ne fut pas une grande réussite !!!

La FURE à la manœuvre pour le pain au grill !!!! 

Déjà le départ dérape : Le pain qu’il faut faire griller sur la braise mourante des souquets, est installé, et oublié par notre tandem amateur, qui est allé se distraire pendant que les tartines se carbonisaient.

Et voilà le boulot !!!!

Evidemment, les protagonistes se rejettent la responsabilité de cette « CAGADE », et il faut ensuite étaler le roquefort rendu liquide par une addition malaxée de Rivesaltes Ambré dans la grosse timbale étamée de la FURE.
Ce dernier « TOUILLE-TOUILLE » et rentre dans une colère folle à cause de ce roquefort trop dur qui ne veut pas fondre!!!!
Posons la sur le feu dira l’OKAPI !!!


TOUILLONS, TOUILLONS...

Oh là là, quel désastre, la timbale fond en même temps que le roquefort, quel spectacle…

Attention, l'OKAPI prend les choses en main...

Sous l’œil moqueur de la Fure.

Enfin la dégustation..... Peut-être l'Okapi a sauvé la mise !!!

Cela vaut bien un "POUTOU"dira la Fure !!!!

Un fou rire général envahi les VAMBES à se tordre de mal au ventre !!!

Un fou rire géant gagne toutes les VAMBES....



Imperturbable, l'Okapi déguste le roquefort qui finalement n'est pas si mauvais !!!!

Il nous fera d'ailleurs remarquer que la moitié qui reste n'est pas si blanc que ça.

Heureusement, la fougasse aux fritons accompagnée par un excellent CAVA va apaiser ce beau monde, et le café du CABRIT mettra un terme à ce pique-nique exceptionnel.

Le CAVA vient de péter, et nous trinquons à la bonne santé des VAMBES.

Que du bonheur semble dire JAMPY.

Nous regrettons encore l’absence du Lynx qui nous a privé de quelques bons chocolats pour accompagner le café.

Cerise sur le gâteau, au moment de faire les comptes, les généreux fournisseurs ont fait cadeau de leurs achats.

Il est environ 15 h et nous décidons d‘aller faire une petite promenade digestive (en voiture dira Patoufet) du côté du Prieuré de MARCEVOL, distant de 3 km, un chef-d’œuvre de l’art roman.

Le magnifique prieuré de Marcevol.

Dans un site exceptionnel, le hameau de Marcevol, hier encore limité à 3 maisons, est aujourd’hui un village plein de charme de 12 maisons, 2 gîtes ruraux, un gîte d’étape, un restaurant et un golf de 9 trous.

Le hameau de Marcevol vu du prieuré.

Le charmant village d'Arboussols vu du prieuré....

Et les beaux paysages vus du prieuré...

C’est dans ce cadre idyllique du prieuré que nous mettons un terme à notre activité de « RANDOVAMBES » pour cette année 2015, avec le souhait de pouvoir poursuivre ces grands moments sportifs, conviviaux et amicaux en 2016.




Bien amicalement
Le CARIBOU.