mercredi 22 avril 2015


Vendredi  10  avril 2015


DU COL DE BAILLAURY AUX COULOUMATES
            (Texte André ROSAT)
(Photos André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)

Distance   16 km
Durée    5 h 30
Dénivelé   500 m
Participants :     Marcel ROUILLE , le Caribou
                          Michel  BARTOLI , l’Okapi
                          Pierre  DELPUECH , le Lynx   ( voiture)
                          Vincent  ROUZE ,  le Castor
                          André  ROSAT ,  la Fure   ( Chef du jour)


C’est à 7 h 45 pétantes que les Vambes se rejoignent chez le Caribou sauf le Lynx qui nous informe téléphoniquement d’un léger retard pour cause, semble-t-il , d’une soirée mal négociée.
Derechef des pénalités-sanctions pour motif de retard sont clairement évoquées :                     -  moins de 5 minutes : ampolles de sang de vigne                                                            -  plus de 5 minutes : un resto                                                                              toutefois , le quorum n’étant pas atteint , ce projet ne peut être entériné dès ce jour.
Le trajet s’effectue sans difficulté mais nous nous réjouissons d’avoir choisi le 4x4 de Pierre car la piste entre le col des Gascons et celui de Baillaury se révèle en mauvais état du fait de plusieurs éboulis.

LE QUAQUATRE DU LYNX NOUS A SAUVÉ.

L’Okapi, l’estomac au bord des lèvres durant le dernier tiers sinueux et le teint  inquiétant, observera jusqu’au bout un silence stoïque. Qu’il sache que nous lui savons gré de ne pas s’être répandu !
A Baillaury , une « marinadasse »pénétrante nous transit rapidement. Aussi les préparatifs et la dégustation des viennoiseries offertes par le Caribou sont-ils rapidement expédiés.

La marinade est violente au col de BAILLAURY, mais les viennoiseries sont appréciées.

Et c’est à 9h30, sous le regard de la Madeloc et de la Massane que la troupe s’ébroue pour cette rando improvisée sans topoguide. Elle nécessite un Chef du jour de qualité : la Fure est plébiscité  et ne cache pas son émotion devant cette belle unanimité. Mais en bon berger et, après avoir regretté l’absence ce jour du Cabrit , grand spécialiste des tours à signaux de notre département , il s’adjoint d’office le Castor :  les deux compères ne quitterons pas les avant-postes de la journée.

Sous l'oeil de la tour de la MASSANE.....

Et de la tour de la MADELOC.

Une fure affûtée qui commence à distribuer son venin.....

Le Chemin de l’Eau,  dont nous expliquons l’histoire aux deux bizuts de l’étape, grimpe modérément et régulièrement ce qui le rend agréable même s’il réclame attention du fait de son caractère caillouteux. Après quelques dizaines de minutes de marche, nous pouvons déjà découvrir la partie littorale de la plaine du Roussillon.

Un sentier caillouteux.....

Avec l'altitude, le cordon littoral se dévoile....


Et ces merveilleux paysages appellent une pause bienfaitrice.

A l’heure de marche, nous atteignons la source Vernedès avec son abreuvoir puis un peu plus loin, celle d’En Vergès. C’est alors la classique traversée du tunnel. L’Okapi ( le visage particulièrement éveillé comme en témoigne la photo) se fend alors d’une pathétique démonstration de sa lampe à roulette sous l’œil consterné de son gendre qui utilisera , quant à lui , la fonction lampe de son i-phone . A chaque génération sa modernité ! 

La source VERNEDE....

Et celle d'En VERGES.....

Le groupe devant l'entrée du fameux tunnel.....

 L'OKAPI actionne sa dynamo pour assurer l'éclairage dans le tunnel..... MDR !!!!



 Au milieu des 200 m de ce tunnel, se trouve un éboulis ; ne souhaitant pas continuer à patauger dans la gadoue , l’échine courbée , l’Okapi et le Lynx font le choix de rester à clair ciel par-dessus le tunnel.

Un éboulis entre les deux parties du tunnel....

Le lynx qui n'a pas souhaité patauger dans la boue du tunnel, a choisi la voie aérienne...

Le CASTOR et les autres plus téméraires ont choisi le tunnel....

 La troupe fait la jonction à la sortie de ce dernier et décide alors de s’adonner aux délices de la traditionnelle pause hypo. Dans un moment d’égarement, Marcel profite de l’occasion pour confondre banane et sex-toys ( voir photo), sous l’œil un peu gêné  de ses compagnons. Mais avec l’habileté d’un véritable Chef , il reprend , si j’ose dire, prestement la main en nous dispensant un cours magistral sur les mica-schistes !

Les bienfaits de la pause hypo, et de la pause sex-toy !!!!

Une magnifique vue sur la tour de la MADELOC, que JAMPY aurait adorée !!!

Nous reprenons alors notre lente ascension pour gagner la troisième et dernière source du Chemin de l’Eau, celle d’En Cassagnes .

La source d'EN CASSAGNES.

 Et c’est ensuite la montée un peu plus raide vers le col de Verderol . Un passage pentu et feuillu verra une gracieuse glissade du Caribou heureusement sans conséquence.

Alors on monte......

Et 1 de chute pour le CARIBOU....

Progression en partie rocheuse....

Puis en forêt.....

Arrivés au col vers midi et devant la violence redoublée du vent , nous prenons la décision de conserve de faire l’impasse sur la Tour de la Massane pour gagner plutôt les Couloumates.

Enfin le col du VERDEROL...

  C’est donc d’abord une descente mal balisée plein sud-ouest  puis le franchissement prudent de  trois recs dont la rivière Massane avant de remonter sous les Couloumates.

Descente prudente...

Franchissement des RECS...

Des fois nous avons besoin d'aide....

La forêt des COULOUMATES est une des plus belles forêt de hêtres du pourtour Méditerranéen.

Majestueux.....

Nous voilà devant la source des COULOUMATES, mais pour l'atteindre il faut traverser la rivière MASSANE.

Nous traversons prudemment....

Et nous voilà enfin au site et refuge des COULOUMATES qui sera notre coin pique-nique.


Là, le groupe se sépare temporairement ; le Lynx , le Castor et la Fure monteront jusqu’au col supérieur admirer le panorama, tandis que le Caribou et son aide de camp, sont chargés de trouver l’endroit idoine le moins venté pour le pique-nique.
 En moins de 10 minutes les plus courageux atteignent le Col et peuvent alors admirer cette fois , sous un vent d’une violence extrême , la quasi totalité de la plaine du Roussillon . 

Le CASTOR et le LYNX ont une vue sur la plaine du Roussillon.....

MAGNIFIQUE !!!!

Exceptionnel !  La Fure se fend même d’un 360° pour immortaliser ce spectacle grandiose.
 De retour aux Couloumates vers 13h , nous retrouvons nos deux compagnons au bord d’un malaise « d’hypo-jaunie » car , prudent,  le Chef du jour avait emmené la Sainte Flasque dans ses fontes jusqu’au Col.

OKAPI et CARIBOU préparent l'apéro...

Nous connaissons un début de pique-nique assez animé . C’est d’abord  le pauvre Okapi , affligé d’incontinence et même pas gêné qui va répandre son jaune sur la nappe immaculée de l’autel.

La timbale télescopique de l'OKAPI c'est à nouveau renversée, c'est un désastre !!!!

 C’est ensuite la Fure , qui n’a pourtant pas commencé à boire, qui,  d’une belle révérence circulaire,  chute du haut du vide sanitaire de notre terrasse sous l’œil rigolard de ses « bons amis ».
La fure s'est reculée pour prendre une photo, et nous l'avons retrouvé 1 m plus bas..... Il aurait pu se faire très mal. L'hélico n'était pas loin !!!! Mais tout le monde rigole.

En cet instant apéritif nos pensées vont spontanément  vers nos compagnons, le Peruano et le Cabrit , absents car « mous du genou » en ce moment. Nous levons nos verres à leur santé et leur souhaitons un prompt rétablissement.

Santé les amis !!!!

Vient alors le moment grandiose ou le Marcelou assoit son incontestable suprematie, abattant sur la table trois cartes maitresses qui  vont transformer notre pique-nique en festin ! En premier lieu , une galante omelette de Pâques mitonnée avec amour par notre chère Ginou . Ensuite une bonne bouteille de rouge de derrière les fagots du domaine du Vieux Genevrier ( surtout  bien tenir la boutanche loin de l’Okapi sinon il va encore souiller la nappe ! ) Et c’est enfin l’apothéose  au dessert avec les succulentes bougnettes au genou de Ginou. Quel pied , mais quel pied ! Que le ciel benisse les Caribous ! ( Il serait d’ailleurs bon que les deux impétrants de la troupe en prennent de la graine s’ils veulent accélérer leur intronisation.)

La belle omelette de Pâques....

Que la FURE apprécie....

Et voilà le Domaine du Genevrier et les BUNYETES !!!! Nous sommes les ROIS !!!

Ces agapes arrosées imposent , cela va de soi, un petit « cluc » en contrebas des Couloumates un peu à l’abri du vent. Ce moment de sieste digestive  est fort prisé de tous  même si le froid finit par nous pénétrer..

Là c'est Vincent en mode sieste... Mais on ne sait pas s'il est sur le dos ou sur le ventre !!!!!

Comme d'HAB, la FURE a mis les freins !!!!

Et voici la générale.....

Sous l'oeil approbateur d'un magnifique chêne !!!! Elle est pas belle la vie...

Il est 15h passées lorsque nous reprenons le chemin. Après avoir envisagé un instant de rejoindre le col de la Place d’Armes,  la raison nous commande,  compte tenu de l’heure , de faire demi-tour par le Verderol.
La montée pour y parvenir se révèle un peu pénible en cette période post-prandiale et le Caribou avouera une certaine perte de lucidité durant quelques instants. Une petite pause s’avère la bienvenue.

Les jambes sont lourdes après le pique-nique, et le CARIBOU affaissé mais jamais inactif essaie d'envoyer un texto au CABRIT...

Depuis le Verderol, la descente s’effectue régulièrement et avec prudence car la fatigue commence à se faire sentir.

Le groupe dans la forêt...

Le CARIBOU arrache un râle en sortie de tunnel...

Et négocie une pause.... Les traits sont tirés !!!

Après  avoir franchi cette fois tous ensemble le tunnel nous regagnons le véhicule du Lynx peu avant 18 h , tous bien « madurs » mais heureux alors que le vent n’a pas faibli. Bon bol d’air , je vous le dis !

OUF !!! Tout le monde est content d'arriver...


Le retour au bercail s’effectue en douceur, sous la conduite assurée du Lynx.
Et chacun , à l’arrivée, d’aller féliciter Ginou , potos à l’appui , pour son exceptionnel soutien logistique culinaire . c’est ce qui s’appelle exprimer notre reconnaissance du ventre !
Et voilà ! Encore une bien belle journée à ranger dans le placard à souvenirs  des Vambes
Vivement la prochaine !


André ROSAT

NB: Les commentaires sous les photos sont de Marcel.





                  

lundi 6 avril 2015

VENDREDI 27 MARS 2015 – RANDO LES VIEILLES PIERRES ET FORÊTS MYSTERIEUSES A CORSAVY.
TEXTE : Michel BARTOLI
PHOTOS : André ROSAT

Distance : 13 km (+ 4 km pour le groupe des perdus).
Durée : 4h30
Dénivelé : 580 m
Difficulté : Moyen
PARTICIPANTS : Marcel ROUILLÉ (Le Caribou)
                             André ROSAT (La Fure)
                             JP FLAJOLET (Le Cabrit) Viennoiserie
                             Michel BARTOLI (L’Okapi) Chef du jour
                             Vincent ROUZÉ (Le Castor) Voiture.

Dès le départ de chez le Caribou, nous ressentons une fébrilité sans doute due au changement de statut des VAMBES : Le Chef du jour fera désormais le compte rendu.
D’une seule voix on entend : L’Okapi est le Chef du jour.
Ça sent un peu le traquenard, mais bon, si vous voulez les gars, acquiesce l’Okapi.
7 h 45 Nous partons, le topo guide du sieur LEVILLAIN en poche, avec la voiture du Castor vers Corsavy, et la tête pleine des bonnes adresses, car il s’agit pour la plupart des VAMBES d’un pèlerinage, souvenir de l’intronisation de l’Okapi chez Françoise.
Sur la route, à hauteur de la FARGA, l’Okapi demande au chauffeur un arrêt, car la bête est délicate et sujette au mal de l’auto. Attention au « VOMITO ».
Après une halte à Arles où Marcel s’était promis d’acheter quelques rousquilles, notre dégobilleur peu locace en profite pour respirer de l’air frais.
Nous voilà enfin à Corsavy.



Nous dégustons les viennoiseries offertes par le Cabrit.
Il fait un temps superbe, pas un nuage, un ciel bleu azur,et la tramontane qui ravage la plaine n’est pas au rendez- vous.
Nous démarrons notre ballade pour admirer la maison natale des frères VIOLET, inventeurs de l’apéritif BYRRH.



De la tour à signaux de CALARIS, nous découvrons le panorama sur le village, et au loin, les Albères, le Roc de France et le Pic St Sauveur.

LA TOUR DE CALARIS....


Et ses paysages....

Au passage d’un col, nous admirons le Canigou tout enneigé.



AÏE CANIGOU !!!! SI LOIN SI PROCHE.

Se succèdent alors, traversée de châtaigneraie, piste sous les noisetiers, et le ravin de la BOUCHERE.
Une longue piste nous conduit au mas de LOC, et rejoignons la D44 que nous quittons rapidement par un sentier facilement trouvé par la Fure et le Castor, contrairement aux prévisions du topo guide. Ils sont forts ces deux- là !!!

Marcel et Michel avant de traverser la D44.


Commencent alors les difficultés sportives : Bonjour glissades, dérapages et chutes sur nos postérieurs.
Il faut être concentré pour éviter les embûches, atteindre le ravin de la JAGOUDE, longer la rive gauche et arriver à la confluence avec la rivière au PAS D’AVET.

Un coup par dessous....

Un coup par dessus...


Et au tour du CABRIT et de l'OKAPI.....

André au coeur de la forêt mystérieuse...


Nous traversons le ruisseau et prenons la rive droite. Là, mes amis, quel spectacle !!!

Nous sommes dans une BUXAIE, des arbres plus poilus les uns que les autres ! Complètement magique.
Magique mais aussi lugubre et oppressant dans cette ombre humide.
On aurait pu se croire avec Blanche-Neige.
(La BUXAIE est une forêt où prédomine le buis).



Une forêt mystérieuse et luxuriante....

La rivière tumultueuse qui va rejoindre les gorges de la FOU, maintient cette humidité permanente.

JAMPY ET MARCEL DOIVENT "S'ENGARAPÉ" dans la descente glissante.... Ce sera 3 de chute pour le CARIBOU !!!

Nous atteignons une forge en ruine, puis une deuxième.



Nous traversons la rivière, et le topo-guide indique une sévère montée.


Le franchissement du gué est une opération délicate, l'eau est très froide....



AÏE AÏE AÏE JAMPY....

Nous décidons de grimper avant de pique-niquer, soit l’effort avant le réconfort.
Nous débouchons au pied du Mas VILAFORT, un endroit paradisiaque.

UN JOLI COIN DE PARADIS....

Des merisiers et des amandiers en fleurs, une prairie verdoyante en terrasses….. Il n’en faut pas plus pour décider de faire notre pause dinatoire ici-même.
Regardez, il y a même un banc pour s’asseoir ; car oui, il faut un banc pour asurer la sérénité ante et post prandiale du Vénéré CARIBOU.



Un peu plus loin, quelques pierres feront le bonheur des autres Vambes.
Enfin la récompense tant attendue est là : Le petit jaune offert par la FURE, agrémenté de saucisse sèche et d’olives du CASTOR ? Cueillies à même le sol grâce aux gestes brusques de l’OKAPI débordant d’enthousiasme………..

L'incident du jour: L'OKAPI a dispersé les olives de son gendre !!!!!

EL REY !!!! Observe avec sérénité cette scène biblique.....

Et le mangement se poursuit dans la bonne humeur, comme à l’accoutumée.
Nous sommes les ROIS ! Nous apprécions l’endroit et le café offert par le CABRIT.
Oui, mais ! ….. Au moment le moins opportun, celui du petit roupillon, v’la-t-y pas que la Proprio du mas VILAFORT arrive, en nous faisant remarquer avec un accent guttural, que nous avons pique-niqué dans son jardin, sous sa fenêtre.
Non mais !....On rêve :
Elle n’est même pas Catalane !
Pas de panneau pour indiquer qu’on traverse une propriété privée sur le sentier de randonnée.
Nous avons terminé, dit-on, nous allons partir, et nous n’avons pas l’habitude de laisser des déchets.
Nous avons trouvé cet endroit très beau ajoutera le CARIBOU.



Rien de tous ces arguments ne la convainc !!!
L’OKAPI descend le talus et va essayer de piquer du nez sur le sentier
Il est rejoint rapidement par le CARIBOU, et puis par toutes les autres VAMBES, mais un quart d’heure après, c’est le CABRIT qui a été le plus récalcitrant aux injonctions de cette dame.
Bref, nous sommes déçus et dérangés dans notre programme de détente.

Déranger le CARIBOU et l'OKAPI pendant la sieste !!! C'est inhumain....


Quelques mesures de rétorsion sont fomentées : « Etant obligé de retranscrire le texte, à cause des handicapés de l’informatique qui l’ont créé, je me refuse à recopier les grossièretés notées par l’OKAPI »…….. Attention à la loi informatique et liberté qui n’autorise pas n’importe quoi.
C’est ainsi, qu’après ce moment d’élucubrations divagatrices, nous reprenons notre virée jusqu’au col de l’ANSIA.
C’est à cet instant précis, que le Chef du jour (OKAPI) voulant absolument respecter le topo-guide, pensant que les VAMBES étaient fatiguées et dépitées par l’algarade, opte pour prendre une sente remontant le long de la croupe, signalée par LEVILLAIN et balisée en rouge.
Au contraire, la FURE et le CASTOR, ne se fiant qu’à leur instinct, choisissent un chemin plus proche de la D43, sans informer le Chef du jour.

Le champ long de CORSAVY que les perdus n'ont pas trouvé....



Il s’avèrera que leur choix était le bon, et les trois VAMBES perdues (OKAPI, CARIBOU, et CABRIT) en seront pour se taper 4 km de plus, sans rancune, et tous solidaires de l’OKAPI.


La CHAPELLE SAN MARTI .... Sur le chemin du retour.

Nous avons téléphoné à plusieurs reprises, mais nos deux AXURITS avaient laissé leur boîte sonore dans la voiture pendant qu’ils se désaltéraient chez Françoise !!!!
Après encore une bonne heure de marche de RABIO, et après être passé devant l’église SAN MARTI, voilà enfin la voiture balai du CASTOR avec la FURE comme co-pilote.
Enfin, les VAMBES se retrouvent au complet, et se réunissent chez Françoise où les rafraichissants offerts par la FURE BURLANERE ET VIPERINE au grand cœur furent appréciés.


Tout le monde est soulagé de retrouver la BDC au complet, et surtout, saine et sauve.


L’OKAPI.