VENDREDI 9 MAI 2014 – RANDO LE CIRQUE
DE VIVIES.
(TEXTE Marcel ROUILLÉ, Photos André
ROSAT)
Distance :
12 km
Durée :
3 h 30
Dénivelé :
300 m
PARTICIPANTS : André ROGER (voiture)
André ROSAT
Vincent ROUZIE
Michel BARTOLI
(Chef du jour)
Jo GIRONELLA
Marcel ROUILLÉ
(voiture).
UNE CURIOSITE GEOLOGIQUE.
Dès 7 h 30 c’est un magnifique arc en ciel qui nous attend au
RDV chez le CARIBOU.
L’approvisionnement en viennoiserie est assuré par la FURE, et
nous décidons pour nous rendre au point de départ de St Laurent DE LA
CABRERISSE (Corbières Audoises), de prendre l’option autoroute jusqu’à Lézignan
Corbières, plutôt que la traversée chaotique des Corbières.
ON MET LES CHAUSSURES DE RANDO, LE PERUAN EST GRIMACANT.
A 9 h 10 nous voilà partis en direction du cirque, par une
petite route montante.
Un sentier nous fait traverser quelques cours d’eau, et
rapidement un premier raidillon commence à laisser des traces.
Juste le temps d’observer le petit barrage du RABET, et voilà
que se profile un deuxième raidillon plus sérieux, qui nous éloigne du charmant
village de St Laurent de la CABRERISSE, et qui largue Marcel qui en a profité
pour constater que le vignoble est excellemment travaillé.
Après ce raidillon, nous arrivons en surplomb du trou de
l’ermite qui nous offre une magnifique vue sur le cirque, considéré comme le
plus beau des Corbières.
Nous longeons sur le haut du cirque la bordure des falaises,
puis un sentier fort pentu va nous conduire au fond du cirque.
La végétation y est « UFANE » (luxuriante), et des
panneaux pédagogiques, nous instruisent sur l’histoire géologique de ce lieu,
ainsi que sur les rapaces et la faune qui y vivent.
Finalement, après toutes ces explications, on se sent moins
ignorants.
Après avoir nourri l’esprit, voilà que nos estomacs réclament,
il est 12 h 45 et il est temps de
repérer le coin pique nique.
OKAPI sort les amuse bouche, et la FURE fait tourner la
flasque….
Finalement, le lieu choisi après « moltes »
argumentation s, s’est avéré agréable, et certains en ont profité pour une
petite sieste digestive.
Il a fallu en l’absence du CABRIT un café virtuel pour nous
réveiller, mais que le départ est dur !!!!!
Un regroupement s’est opéré sous le figuier, sans en connaître
la variété, et c’est avec plaisir que nous avons retrouvé les véhicules, avec
un changement de chaussures toujours apprécié.
Une petite halte à FABREZAN, petite bourgade voisine de notre
point de RANDO nous a permis d’apprécier les rafraichissements offerts par Jo.
Bien amicalement
Marcel.
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