jeudi 28 mars 2019

😊😊😊
 

 

 
             LA GRANDE BOUCLE D OPOUL
   (texte: JP FLAJOLET)
(Photos: André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)
                    Vendredi      15       Février       2019

 

 

PARTICIPANTS     ; Marcel ROUILLE dit Le Caribou

                                   André  ROSAT dit La Fure

                                   Pierre DELPUECH dit Le Lynx  ( voiture )

                                   Louis PALLURE dit L Isard ( viennoiseries )

                                   Olivia AQUILINA  dit la Fille du Caribou

                                   Jean Pierre FLAJOLET dit Le Cabrit ( voiture, chef du jour et rédacteur )

 

Distance     ;     16,5 kms ( sera raccourci à environ 11 kms)

Durée          ;     5 à 6 h

Dénivelé      ;     390 m

Difficulté      ;     moyen

 

            A 7 h 45 nous sommes à l heure et partons retrouver notre ami L’Isard en train de faire provisions de viennoiseries et pain .Nous voici partis et rencontrons rapidement le brouillard et c est à Opoul compte tenu de son altitude ( environ 170 m) que nous trouvons le soleil.
Le Château de la Salvaterra n'est plus dans les brumes, mais un peu éloigné d'Opoul.

            A l entrée du village ( il est 9 h) nous laissons Olivia et L Isard avides de se dégourdir les jambes pour démarrer, tandis que les voitures vont se garer aux points stratégiques afin de réduire le parcours à 11 kms environ. En dépit du balisage nos éclaireurs ne trouvent pas le chemin et nous allons les récupérer à la sortie du village et tout ce petit monde se retrouve sur le parking au pied de la forteresse pour déguster les viennoiseries avant d’attaquer la montée (il est 10h).
Les incontournables viennoiseries sont toujours appréciées….
Olivia est notre invitée surprise, elle a posé une journée de congé pour randonner et partager des moments de convivialité avec les VAMBES !!!! Chapeau messieurs.
 
Une rencontre inattendue, Marcel retrouve au pied du Château, Bibiche, un compagnon qui a fait carrière à l'INAO, et qui s'apprête à rejoindre Perillos en courant. Quel  athlète !!!!

            Et là au lieu de prendre le premier sentier( unique chemin d’accès à la forteresse ) à droite, nous prenons tout droit pour suivre L Isard dont tous connaissent le sens de l’ orientation ,le chef du jour n’ayant pas bien lu le topoguide, et arrivons au pied de la forteresse de Salvaterra .
 
Un coin lugubre….
Elle fut bâtie par Jacques 1er d’Aragon pour défendre la frontière entre les royaumes de France et d’Aragon. Assiégée en 1598 et 1639 par les troupes françaises, elle perdit tout intérêt après le traité des Pyrénées. Le village de Salvaterra ( La terre qui sauve ) établi à l ouest du plateau fut abandonné au 16ème siècle au profit d’Opoul. Il ne reste que quelques pans de mur, des tours partielles avec merlons et meurtrières, une jolie salle voutée et des latrines. Seuls Olivia ,Louis et André escaladent le mur d’enceinte tandis que Marcel, Pierre et Jean Pierre cherchent un autre accès hélas sans succés et tous se retrouvent au parking , les visiteurs de la forteresse ayant retrouvé le bon chemin pour la descente.
 
 
 

 Du haut de Salvaterra, une belle vue sur le Canigou, mais aussi des paysages lunaires et un site peu sécurisé qui peut être dangereux (Louis sur la photo).

            Après une explication sur les raisons de ce départ raté , nous repartons avec un suivi scrupuleux du topoguide par le chef du jour. Nous faisons le tour du plateau permettant de voir l autre face de la forteresse  en traversant le planal du Sorbier. Après une pente un peu raide le topo mentionne de poursuivre à gauche bien que marquée d’une croix X ?
 Côté ouest, on peut juger l'inaccessibilité du plateau et de la forteresse.
 André et Olivia en grande discussion….
Olivia et Marcel devant une carcasse également….. Rouillée.

Après repérage nous passons outre la croix  pour arriver sur une route qui nous mène vers la mas du  Val Oriole que nous laissons sur notre gauche, passons devant la chapelle et continuons vers l ouest pour prendre une piste montante.
Arrivée du groupe devant la chapelle du Mas de VAL ORIOLE.
Une petite pause…..
 
A main droite au milieu des vignes trône un genévrier cade en forme de parasol d’ une circonférence de 4,60 m.et un age estime à plus de 1000 ans ( peut être 1800 ! ) et labellisé « arbre remarquable de France » par la association ARBRE.
 
Le côté insolite de ce genévrier cade plus que millénaire….
 
  Impressionnant dès qu'on s'approche….
 
 
La Fure impressionnée….
Un concours est lancé pour connaître la VAMBE qui rivalisera la 1ère avec les rides de cette vieille branche !!!!
  Louis et Olivia sont….. MDR .
 
Nous continuons la piste jusqu’au Mas  Farines et descendons progressivement dans la pinéde du vallon dels Vivers.
 
Nous traversons plusieurs passages à gué et au niveau d’une tire forestière on bifurque à gauche pour descendre , traverser le ravin jusqu’à une confluence qui sera  le coin pique nique bien ensoleillé.
 
 
Durant ce moment royal partagé avec jaune( et blanc proposé par Olivia) , une chèvre « égarée » vient nous tenir compagnie et Louis essaie de l’apprivoiser sans succès !
 
Transformé en MANON des sources….. Louis n'arrivera pas à dompter cette belle chèvre.
 
Les moments prisés du pique-nique…..
Pour Olivia et Marcel, c'est la sieste….
Pour le Chef du jour JAMPY, il faut bucher le topo-guide (la rando n'est pas finie, il faut attaquer le canyon….
Alors que le Lynx, tel le puisatier recherche une source…..
Pourvu que ce ne soit pas une source….. d'ennuis !!!
Finalement, rien ne vaut une bonne sieste….

            Après ce frugal pique nique ,nous suivons le lit de galets et les falaises se rapprochent pour former un mini-canyon bien poli par les eaux de toute beauté avec quelques passages délicats.
Le vendredi soir, les jeunes déboulent…. en boîte de nuit….. Pour les VAMBES c'est dans le canyon avec quelques passages délicats.
Ici le Lynx….
Ici JAMPY....
 
Ici la FURE et Olivia….
 
 
Louis l'Isard….
 
Louis, qui ne va pas tarder à prendre un bain de pied…..
 
   Nous approchons de la sortie du canyon….
 
 Un second  canyon nous fait découvrir la grotte de Nanteil légèrement en hauteur pour arriver au point ou nous avons laissé une voiture. Olivia et Louis continuent à pied sur la route tandis que Marcel, André , Pierre et Jean Pierre vont retrouver l autre voiture au pied de la forteresse ou nous rejoignent Olivia et Louis .
 
Nous retrouvons aussi les paysages lunaires….. Les martiens ne sont pas loin !!!!

            Retour à Villelongue vers 16 h.  sans problème.
Amicalement,
JAMPY dit le Cabrit.

 
NB: Les commentaires sous les photos sont de Marcel.

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lundi 18 mars 2019

 
 
 



 

 

 





L’Île Saint-Martin (GRUISSAN)
                                                                           8 mars 2019 (Texte: Pierre DELPUECH)









                                         
       (Photos et montage du blog: Marcel ROUILLÉ)
 






 




Les Participants :




                  Marcel Rouille dit Le Caribou




                            Louis Pallure dit L’Isard (Viennoiseries)




                            Pierre Delpuech dit Le Lynx (Chef du jour)




                            Michel Bartoli dit L’Okapi (voiture)




                            

 




        




La distance :             10 km




La durée      :            3 h 00
Le denivelé :             180 mètres




La difficulté :            Facile

 

 

 
Nous nous retrouvons comme à l’accoutumée chez le Caribou. Il faut noter cependant l’absence de dernière minute du Patoufet ce dernier ayant été retenu chez lui par des obligations canines et « Havanesques »…

 

Peu après 7h30 nous prenons place à bord du corbillard de l’Okapi qui va convoyer une dernière fois les Vampes à leur destination qui elle ne sera pas (on l’espère) la dernière. En effet notre ami a décidé d’investir dans un nouveau véhicule SUV. Nous avons regretté qu’il n’ait pas pensé à prendre un sept places ce qui aurait été utile pour nos déplacements mais bon nul n’est parfait.

 

Après une halte à la boulangerie ou nous récupérons Louis qui à son habitude s’est chargé de prendre les viennoiseries et le pain nous rejoignons notre destination par la côte, l’autoroute et en longeant le massif de La Clape.

 

Nous contournons le charmant village de Gruissan dominé par la Tour Barberousse vestige de l’ancien château fort qui gardait ce qui était l’accès au port de Narbonne et après avoir longé l’étang nous nous garons prés d’une ancienne passerelle métallique.

 

Après avoir dégusté les viennoiseries, nous commençons la randonnée par un très beau temps. Il est neuf heures.

 
Les baroudeurs sur le départ….

Nous dépassons le hameau de Pujols que nous laissons sur notre droite et suivons un sentier caillouteux qui longe la lagune.

 
Louis se délecte des parfums miellés des fleurs d'amandier.



Après une petite grimpette nous descendons une petite combe qui nous mène à la partie du parcours qui se trouve en bas des falaises au bord de la lagune. La vue sur Bages, les Corbières et Narbonne est magnifique. Sur la gauche nous admirons une belle arche.

 
Des espaces lagunaires de toute beauté.


 Une belle vue sur Bages d'Aude, lieu d'une précédente rando.

A un moment donné nous sommes obligés de faire demi tour car la hauteur de l’eau de l’étang de Campignol ne nous permet plus de continuer sauf à prendre un bain de pieds.

 
En cette période, l'étang est haut, et le passage est plus qu'étroit….

Un passage qui devient impossible…. Nous imposant un demi-tour.

Notre intrépide Isard, qui lui n’a peur de rien, se lance dans l’escalade de la falaise pour voir s’il n’y pas un moyen de contourner l’obstacle.

 
Louis emprunte la falaise, nous le retrouverons plus tard.

 

Plus sages nous retournons sur nos pas au point 4 et après quelques minutes de marche nous retrouvons l’Isard qui nous attend sur le chemin.

 

Le moment est venu de faire une pause et de se réhydrater tout en admirant le beau paysage.

 
C'est aussi le moment que choisit l'Okapi pour régler les bretelles du Lynx.

Nous continuons sur le sentier qui longe les falaises où nous croisons une charmante famille de vacanciers avec qui nous échangeons. Celle-ci nous rassure : elle a bien croisé un randonneur solitaire (Louis) qui comme à son habitude est parti devant.

 

Après une petite descente nous sommes au bout de l’île à la pointe dite de la gréve avec sa belle langue de sable partiellement recouverte par les eaux de l’étang.

 

La balade se poursuit le long de l’étang de l’Ayrolle. En face nous distinguons les cabanes de pêcheurs.

 

Puis nous tournons sur la gauche et après avoir traversé les petites lagunes du Gassot nous rejoignons un parking où nous retrouvons la famille croisée un peu plus tôt. Sur la gauche le domaine viticole appartenant à Pierre Richard.

  

Entre temps nous avons perdu Louis qui lancé dans une conférence téléphonique de la plus grande importance est resté en arrière et n’a pas vu dans quelle direction nous étions partis.

 

Une fois Louis récupéré nous attaquons la dernière partie de la rando qui se poursuit à travers les pins d’Alep et les vignes.

Le Lynx au bout de la grimpette.

 

 

Après un dernier dénivelé un sentier sur le plateau nous ramène à la piste où nous retrouvons Louis cette fois parti devant.

 

Une jacinthe sauvage sur notre parcours.
 
Retour au point de départ, il est 13 heures.

 

Après une courte balade en voiture nous nous arrêtons sur une aire de pique-nique aperçue par le Caribou à l’aller. Entre temps le temps à changé, le vent marin souffle et l’on supporte la veste.

Et voici le moment royal en préparation 

Nous nous installons à une table au soleil. Il s’en suit la cérémonie de la flasque qui précède tout bon repas champêtre ; ce dernier clôturé par l’excellent café offert par l’Okapi.

Avec toujours une pensée pour les absents…..
 
 

Le retour à Villelongue s’effectue sans encombre après une halte à Perpignan où nous laissons Louis parti récupérer la fameuse « Credenciale » indispensable à tout bon pèlerin qui se rend à Compostelle. Ce dernier démarre son pèlerinage lundi




Amical salut du Lynx