vendredi 5 avril 2013


28 MARS 2013 – RANDO PORTVENDRES MER ET MONTAGNE.

 

Distance : 16 km

Dénivelé : 4 à 500m

Temps hors pauses : 4h30

PARTICIPANTS : JP FLAJOLET (voiture)

                     André ROSAT

                     Marcel ROUILLE.

 

UNE ALTERNANCE DE CIEL GRIS ET DE GRAND SOLEIL

 

Décidemment cette fin d’hiver est humide. JAMPY et la FURE toujours très malins profitent de l’abri voiture pour échapper à cette fine bruine qui va nous accompagner jusqu’au CAP BEAR.
 
 
LE LEGENDAIRE PHARE DU CAP BEAR.LA TRAMONTANE Y ATTEINT PARFOIS 150 KM/H.

Un sentier marin nous fait longer l’anse de Sainte Catherine, et dévoile une côte sauvage et escarpée.
LA BELLE ANSE DE SAINTE CATHERINE.
 
UNE COTE SAUVAGE.

Nous croisons un couple VAROIS que la FURE trouve trop amoureux, et nous discutons longuement avec eux. Ils sont en fait surpris par la beauté de nos paysages qu’ils ne connaissaient pas.

Quelques fleurs égayent ce paysage gris, et l’heure de la pause hypo est la bienvenue.
QUE DE PAPOTAGES A CETTE PAUSE HYPO....
 
SANS PERDRE UNE ONCE DE LA BEAUTE DES PAYSAGES...

C’est le moment des « PAPOTAGES » mais chut !!!! Rien ne sortira de ces sentiers secrets.

Après avoir longé la plage de PAULILLES, nous abandonnons le côté mer au profit du côté montagne.

Direction la petite commune de COSPRONS, mais le balisage nous fait un peu douter.

JAMPY qui a perdu sa timidité depuis l’histoire du CHAMP LONG au Mont TAUCH intervient avec autorité pour nous remettre sur le bon sentier.

Il est 12h45 (TRES QUART DE UNE) dirait notre Professeur de Catalan, et c’est sur les hauts de COSPRONS tout près d’une Chapelle que nous installons le pique nique.
QUE DEMANDE LE PEUPLE....
SANTE !!!!!

Moment ROYAL accompagné enfin d’un soleil chaleureux qui aspire l’excès d’humidité du matin, alors que dans un élan de joie nous aspirons la flasque.

André a repéré sous notre table de pique-nique un poème qu’il nous lit avec passion et émotion.
LA FURE ROMANTIQUE A AIME CE POEME...

Nous remarquons sur le clocher de la Chapelle, deux boulets de canon, scellés, qui rappellent la guerre du Général DUGOMMIER en 1794.

Grâce à un artisan qui travaille pour les monuments historiques, nous pourrons visiter la Chapelle qui est en fin de restauration et doit être inaugurée le 6 avril.
 
 
 
 
 
 

Le Christ marin du 14ème siècle et des ex-votos, doivent y être réinstallés, mais la FURE est déjà tombé amoureux de la très belle porte.

Nous reprenons le chemin, sous un soleil maintenant chaud, et traversons ce splendide terroir de schistes, qui laisse souffrir les vieux ceps de vigne, pour nous donner plus tard, une offrande du divin nectar : LE BANYULS.
 
 
UN CEP CENTENAIRE...
 
ATTENTION AU COUP DE SOLEIL !!!!! MEME SI DANS LE NORD IL NEIGE.....

Sont-ce nos rêveries, mais la réalité c’est que nous sommes égarés. Il est évident que nous avons loupé quelque chose, et André à beau tourner le topo guide dans tous les sens, nous ne comprenons pas l’erreur, et nous ne trouverons pas le col du PERDIGUE.

Cette inattention nous coûtera quelques km de plus, et c’est finalement le chemin muletier d’une autre randonnée que Marcel avait faite avec l’OKAPI qui nous ramènera à bon port.
 
APRES L'EFFORT, LE RECONFORT.... ET RASSUREZ VOUS, NOUS N'AVONS PAS PERDU LE NORD !!!!!!!

André nous propose un rafraichissement fort apprécié, et Marcel qui se plaint du dos, apprécie le confort de la spacieuse voiture de JAMPY en reculant le siège sans modération.

Retour au village vers 16h, mûrs mais contents.

 

Bien amicalement

MARCEL.

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