jeudi 24 juin 2021

VENDREDI 18 JUIN 2021 - RANDO LE SENTIER DU GUETTEUR A LEUCATE

 VENDREDI 18 JUIN 2021 – RANDO LE SENTIER DU GUETTEUR A LEUCATE

(Texte et photos : Marcel ROUILLÉ)

 

 

Distance : 12 km

Dénivelé : 160 m

Durée : 3 h 30 hors pauses

Participant : Marcel (TOT SOLET).

 

C’est rare, mais en ce vendredi 18 juin, malgré l’appel du Caribou, c’est une pléiade de forfaits qui s’est abattu sur les VAMBES.

Qu’à cela ne tienne, en gardien des traditions, le CARIBOU est parti seul sur le sentier des guetteurs.

A 9 h 30 c’est le départ sac au dos depuis le parking de l’office du tourisme de Leucate village, sous un soleil  de plomb.




La luminosité est parfaite, et à la montée vers les falaises, les paysages se dévoilent et je surplombe rapidement le village de Leucate et sa colline avec les ruines du Château.




Les murettes qui bordent le sentier et qui délimitaient les parcelles sont de toute beauté.




Les vignes installées sur ce plateau calcaire donnent des vins très élégants, et dotés d’une minéralité associée souvent à des notes iodées.




En approchant de la grande bleue, l’air marin apporte une touche rafraîchissante appréciable.

Une petite pause hydratation à l’ombre d’un chêne est la bienvenue.




A partir d’ici, le sentier du guetteur fait bifurquer sur la droite en direction du cap Leucate et de son phare, mais en passant par l’arrière du phare, par un sentier « cairné », qui fait descendre dans une combe avant de remonter vers le phare côté nord.


Des jolis cairns qui feraient le bonheur d'Émilien.





La chaleur est étouffante au passage de cette cuvette, et Marcel en profite pour la pause hypo. (Même seul, les traditions sont maintenues avec l’avantage que les décisions ne sont pas contestées).


Pause hypo dans la combe, il est 11 h 03.

Quelques casots fleurissent dans cette contrée.



Le phare en vue par le côté Nord.

A l’approche du phare, un sentier constitué de pierres fossilisées témoignent que la coloscopie était pratiquée dans les temps lointains.


Le sentier de la "COLOSCOPIE"

Le Caribou a décidé de baptiser cette portion d’itinéraire du nom de « Sentier de la coloscopie ».

Au niveau du vieux phare de Cap Leucate, il faut maintenant s’orienter direction Nord vers le célèbre restaurant du Cap, puis vers le sémaphore.


Le phare et le restaurant du Cap Leucate.



Juste avant le sémaphore, je borde les falaises qui me permettent de découvrir la plagette, une petite plage de sable fin, à laquelle on accède par des marches pentues et un sentier escarpé.


La plagette au pied du sémaphore en bas de la falaise....



L'accès à la plagette.

Je me dirige maintenant vers LA FRANQUI en longeant les falaises et en profitant de la fraîcheur de l’air marin. Que du bonheur !!!!


Approche de LA FRANQUI.




Je découvre bien avant LA FRANQUI, l’ancien fanal dit la Redoute de la FRANQUI, unique vestige militaire du XVIIIème siècle.





L'état de la Redoute avant sa restauration en 1980.

La progression sur ce sentier m’amène en surplomb de LA FRANQUI, et je découvre la beauté de ce cordon littoral côté Nord où les étangs côtoient la mer, avec certainement une multitude de GRAUS qui mélangent les eaux au gré des tempêtes.





Vue depuis la pinède (il est 12 h 36)

On mesure vu d’ici, la fragilité de ce cordon littoral formé au début de l’ère quaternaire.

Après avoir dépassé LA FRANQUI, je traverse une pinède et mon itinéraire non balisé depuis le sémaphore, est coupé par un vaste enclos à chevaux clôturé par des fils de fer.

Un bon quart d’heure sera nécessaire pour retrouver le bon chemin, et c’est sous un soleil au zénith, (il est 12 h 36) que je me dirige à travers le vignoble vers le sentier du vigneron où je retrouve maintenant un balisage.




Les parcelles sont magnifiques, et je découvre également un verger d’oliviers de toute beauté.





La beauté des paysages méditerranéen et leurs symboles: "la vigne et l'olivier".

Il est 13h 30 et j’arrive au coin pique-nique dit de la « FONTAINE DE LOIN »



Au plaisir de la flasque, je salue les copains absents, et me restaure avec délectation après un apéro en solitaire (une fois n’est pas coutume).

Quel désespoir, de ne pouvoir déblatérer sur les absents…..

Bref, afin de positiver un peu plus cette journée, je décide de m’arrêter sur le retour, aux cabanes des ostréiculteurs pour une provision de fruits de mer qui seront dégustés le soir avec Ginou, et accompagnés du bullotage traditionnel.

A bientôt les amis pour une prochaine aventure, cette fois en équipe j’espère.

Amicalement

Marcel.

 

 

 

 

 VENDREDI 18 JUIN 2021 – RANDO LE SENTIER DU GUETTEUR A LEUCATE

(Texte et photos : Marcel ROUILLÉ)

 

 

Distance : 12 km

Dénivelé : 160 m

Durée : 3 h 30 hors pauses

Participant : Marcel (TOT SOLET).

 

C’est rare, mais en ce vendredi 18 juin, malgré l’appel du Caribou, c’est une pléiade de forfaits qui s’est abattu sur les VAMBES.

Qu’à cela ne tienne, en gardien des traditions, le CARIBOU est parti seul sur le sentier des guetteurs.

A 9 h 30 c’est le départ sac au dos depuis le parking de l’office du tourisme de Leucate village, sous un soleil  de plomb.

La luminosité est parfaite, et à la montée vers les falaises, les paysages se dévoilent et je surplombe rapidement le village de Leucate et sa colline avec les ruines du Château.

Les murettes qui bordent le sentier et qui délimitaient les parcelles sont de toute beauté.

Les vignes installées sur ce plateau calcaire donnent des vins très élégants, et dotés d’une minéralité associée souvent à des notes iodées.

En approchant de la grande bleue, l’air marin apporte une touche rafraîchissante appréciable.

Une petite pause hydratation à l’ombre d’un chêne est la bienvenue.

A partir d’ici, le sentier du guetteur fait bifurquer sur la droite en direction du cap Leucate et de son phare, mais en passant par l’arrière du phare, par un sentier « cairné », qui fait descendre dans une combe avant de remonter vers le phare côté nord.


La chaleur est étouffante au passage de cette cuvette, et Marcel en profite pour la pause hypo. (Même seul, les traditions sont maintenues avec l’avantage que les décisions ne sont pas contestées).

Quelques casots fleurissent dans cette contrée.

A l’approche du phare, un sentier constitué de pierres fossilisées témoignent que la coloscopie était pratiquée dans les temps lointains.

Le Caribou a décidé de baptiser cette portion d’itinéraire du nom de « Sentier de la coloscopie ».

Au niveau du vieux phare de Cap Leucate, il faut maintenant s’orienter direction Nord vers le célèbre restaurant du Cap, puis vers le sémaphore.

Juste avant le sémaphore, je borde les falaises qui me permettent de découvrir la plagette, une petite plage de sable fin, à laquelle on accède par des marches pentues et un sentier escarpé.

Je me dirige maintenant vers LA FRANQUI en longeant les falaises et en profitant de la fraîcheur de l’air marin. Que du bonheur !!!!

Je découvre bien avant LA FRANQUI, l’ancien fanal dit la Redoute de la FRANQUI, unique vestige militaire du XVIIIème siècle.

La progression sur ce sentier m’amène en surplomb de LA FRANQUI, et je découvre la beauté de ce cordon littoral côté Nord où les étangs côtoient la mer, avec certainement une multitude de GRAUS qui mélangent les eaux au gré des tempêtes.

On mesure vu d’ici, la fragilité de ce cordon littoral formé au début de l’ère quaternaire.

Après avoir dépassé LA FRANQUI, je traverse une pinède et mon itinéraire non balisé depuis le sémaphore, est coupé par un vaste enclos à chevaux clôturé par des fils de fer.

Un bon quart d’heure sera nécessaire pour retrouver le bon chemin, et c’est sous un soleil au zénith, (il est 12 h 36) que je me dirige à travers le vignoble vers le sentier du vigneron où je retrouve maintenant un balisage.

Les parcelles sont magnifiques, et je découvre également un verger d’oliviers de toute beauté.

Il est 13h 30 et j’arrive au coin pique-nique dit de la « FONTAINE DE LOIN »


Au plaisir de la flasque, je salue les copains absents, et me restaure avec délectation après un apéro en solitaire (une fois n’est pas coutume).

Quel désespoir, de ne pouvoir déblatérer sur les absents…..

Bref, afin de positiver un peu plus cette journée, je décide de m’arrêter sur le retour, aux cabanes des ostréiculteurs pour une provision de fruits de mer qui seront dégustés le soir avec Ginou, et accompagnés du bullotage traditionnel.

A bientôt les amis pour une prochaine aventure, cette fois en équipe j’espère.

Amicalement

Marcel.

 

 

 

 

 


 

 

 

jeudi 17 juin 2021

VENDREDI 4 JUIN -RANDO CASCADE SALT MARIA VALENTA

 

VENDREDI 4 JUIN 2021- RANDO CASCADE SALT MARIA VALENTA

ARLES /TECH

(Texte : Marcel ROUILLÉ)

(Photos : André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)

 


Le CARIBOU Chef du jour avec son art de vivre. 

Distance : 8 km

Dénivelé : 580 m

Durée : 3 h 30 hors pauses

PARTICIPANTS : JP FLAJOLET dit le CABRIT (voiture)

                             Michel BARTOLI dit l’OKAPI

                             André ROSAT dit la FURE (viennoiseries)

                             Dominique ROUILLÉ en GUET STAR

                             Marcel ROUILLÉ (Chef du jour)

 

 

UNE RANDO NERVEUSE ET DIABOLIQUEMENT BUCOLIQUE

 

La météo était annoncée délicieuse, et après un parcours sans faute de notre chauffeur et conducteur préféré JAMPY, nous voilà stationné à Arles devant la célèbre confiserie TOURON pour un incontournable achat des meilleures ROUSQUILLES du monde.

Sur proposition de Marcel, le groupe accepte de modifier le point de départ, en se rendant directement à la « FONTAINE DES BUIS », un lieu ombragé, en bordure du Tech et équipé de nombreuses tables de pique-nique.




Le plan est limpide….. Nous laisserons le pique-nique à la voiture et serons allégé d’autant pour la grimpette.

Au retour, nous serons directement au lieu de pique-nique.


 


Les viennoiseries sont dégustées en bordure du TECH.




Caribou, le Chef du jour auto proclamé, a bien étudié la situation, la totalité du dénivelé se fera d’entrée avec le premier tiers du parcours, un échauffement type coaching paraît indispensable pour affuter la musculature des athlétiques Vambes.

Notre GUET STAR est impressionné par le dynamisme des « VIEUX ».


L'échauffement.

La montée s’avère très sévère d’entrée !!!







1 h 30 d’ascension sans répit, pour arriver aux 3 pancartes.



Les VAMBES transpirantes aux 3 pancartes.



Nous prenons la direction de l’oratoire en suivant à flanc un sentier enfin peu pentu qui dévoile de beaux panoramas sur Arles sur Tech que nous surplombons allègrement.



Le sentier bifurque et zigzague dans une belle descente jusqu’à traverser un ravin.




La végétation est luxuriante, de belles fougères bordent le ruisseau qui hélas coule peu, traduisant un manque d’eau pour cette période printanière, de quoi inquiéter pour l’été qui approche.




Après avoir monté l’autre versant du ravin, nous débouchons sur une petite route qui nous amènera au sentier de la grotte.

A l’idée de découvrir ce lieu secret, la FURE et l’OKAPI éprouvent le besoin d’une étreinte câline dont ils ont le secret, ce qui agace parfois quelques Vambes jalouses.


LE BIG BISOU !!!


Et voilà un OKAPI radieux, souriant et transpirant.....

Bref, devant cet engouement, le trio de VAMBES en manque d’affection laisse partir en tête à tête les amoureux vers la grotte.

Au niveau de l’oratoire, nous rencontrons un jeune Belge qui nous croise accompagné de son Berger Belge également.



St ABDON et SENNEN

Il n’a aucun plan, et n’a pas trouvé la Cascade.

Le Caribou armé de son topo-guide lui transmet quelques conseils, et le voilà qui fait demi-tour pour courir vers la cascade.


OKAPI ET LE CABRIT au cœur des flaveurs odorantes des cistes.

Nous arrivons enfin à la fameuse grotte où ont été cachées les reliques de St Abdon et Sennen.

L’exercice est acrobatique pour atteindre l’entrée de la grotte située


 Verticalement à une dizaine de mètres de hauteur.

Heureusement un système de cordage facilite cette manœuvre.


Domi à la manœuvre


La FURE est en haut.


Marcel à la corde.


L'entrée de la grotte....


Et au fond les reliques.


La FURE descend


Suivi comme son ombre par l'OKAPI.


Domi et Marcel s'en amusent....

Notre prochaine étape est maintenant le puits à neige que nous découvrons sur le bord du sentier.

Avant de l’atteindre, nous croisons le Belge qui revient de la cascade toujours en courant, et nous donnera un précieux conseil d’orientation. Il y a toujours un match retour, et c’est tant mieux !!!



Après une petite pause au puits à neige, une longue descente nous amène vers la cascade.



Le PUITS à neige.

Tout se mérite et l’accès à ce site bucolique, luxuriant et féerique, n’est pas évident.

Il faut avoir franchi ce dernier obstacle de façon encore acrobatique pour découvrir ce site enchanteur, où les sons de la chute d’eau se mêlent à la cacophonie du chant des oiseaux et aux notes d’exclamation des OHHH et des AHHH de VAMBES interloquées, et complètement immergées dans ce cadre rafraichissant.


L'accès à la cascade se mérite....

Le plaisir des yeux n’est pas en reste, et nous passerons une bonne demi- heure à photographier, et nous saouler de cette orgie des sens.




OKAPI se rafraîchit


Domi et la Fure.


Le Chef du jour est fier.


Photo souvenir pour les frangins.


Et pour la FURE dans ce lieu bucolique.

Tout à une fin, il faut maintenant repartir, les uns crient leur appétit et d’autres la soif de la flasque….

Une dernière difficulté sera écartée par un Caribou avisé qui fera l’objet d’un sans- faute dans son exercice de Chef du jour.


Le pâturage bien gras du Vallespir pour ces belles vaches.

Il est pratiquement 13 h lorsque nous retrouvons la Fontaine du BUIS dans son havre de fraîcheur, et c’est confortablement installés que nous levons nos verres à la santé des absents, et à notre amitié.






Le pique-nique sera agrémenté des biberons amenés par Domi et l’OKAPI, et en fin de repas, le café du CABRIT sera agrémenté des délicieuses ROUSQUILLES de la maison TOURON offertes par Domi notre GUET STAR du jour.




Qu’ils sont bons ces moments les amis.

Malgré quelques crampes intempestives, notre ami le CABRIT nous ramènera en parfaite sécurité chez le CARIBOU où nous dégusterons les excellentes bières LEFFE dont le stagiaire nous avait approvisionné.



Bien amicalement

Le CARIBOU.