samedi 23 septembre 2017


VENDREDI 15 SEPT 2017 – RANDO A VILLELONGUE

(Texte : Marcel ROUILLÉ)

(Photos : André ROSAT, Michel BARTOLI et Marcel ROUILLÉ)

 

Distance : 13 km 300

Dénivelé : 3,06 m

Durée : 3 h

Participants : Pierre DELPUECH dit le Lynx

                         Michel BARTOLI dit l’Okapi

                         André ROSAT dit la Fure

                         JP FLAJOLET dit le Cabrit

                         Marcel ROUILLÉ dit le Caribou

(Pas de viennoiserie, pas de voiture, pas de chef du jour, c’est l’anarchie)

                                   LES VAMBES SOUS LA PLUIE

Les Vambes étant mobilisées à 14 h par la préparation de la journée du Patrimoine, voilà la raison pour laquelle Villelongue a été choisie comme lieu de randonnée.

La pluie s’invite à cette journée (elle ne sera pas la seule !!!!), mais il en faut plus pour décourager les Vambes.
 
Départ sous la pluie....

Nous empruntons la voie communale n° 120 qui prolonge la rue St Sébastien.

Nous poursuivons en longeant le ruisseau du moulin, et par l’arrière le stade Joseph MOLINS, puis rejoignons le moulin de Villelongue, et le lieu-dit « derrière le moulin ». A partir du moulin et jusqu’au Bourdigou, le ruisseau est bien entretenu.

La traverse de « Bouchadeil » nous conduit sur la voie cyclable, pour atteindre le lieu-dit « la colominette » au territoire de Bompas.
Sur la traverse Bouchadeil....
 
Puis sur la voie cyclable.

La pluie est incessante, mais n’entame pas la bonne humeur des Vambes.

Sur le chemin de Charlemagne, nous traversons le pont sous lequel passait jadis le ruisseau du moulin, avant de rejoindre le « CAMP DE L’ULL » où naissait un réseau de canaux « ARRAGATIU » permettant d’irriguer les jardins maraîchers.
Le ruisseau du moulin n'est pas entretenu.

Aujourd’hui, le ruisseau depuis la resclause, jusqu’au moulin de Villelongue n’est pas entretenu.

Nous laissons le chemin de Charlemagne qui se dirige tout droit vers Château Roussillon, pour emprunter l’ancien chemin de Perpignan à Villelongue. Nous sommes sur le territoire de Perpignan.
 

Au lieu-dit du champ de la traverse, où j’avais connu le magnifique verger de poiriers de l’oncle Pierre, nous laissons ce chemin pour nous diriger vers le mas Caldère.
 
Cabrit et Okapi près du mas Caldère.

Les champs d’artichauts et malheureusement les friches se côtoient.
 
Un joli champ d'artichauts...
 

Nous arrivons au lieu-dit « EL CAMP DEL NOGUÉ » propriété que se partagent Patoufet et le Lynx.
 
Le Lynx jette un œil averti sur sa propriété....

Nous nous dirigeons maintenant vers la rue Jules FERRY prolongée, que nous traversons non loin du passage à gué, et nous empruntons, juste après la pause hypo, le chemin de St Michel qui mène à Ste Marie, et c’est ici que la pluie s’arrête, nous avons fait environ les 2/3 de la randonnée.

L'objectif de la Fure a saisi l'œil du cyclone.....


La traversée de Ste Marie....

Sur la route de Torreilles, nous prenons la traverse qui se dirige en direction du mas Nerel.

Nous retrouvons le ruisseau du moulin, bien entretenu, qui draine les eaux de pluie vers le Bourdigou.
Conciliabule sur le pont du ruisseau...
Ici, le ruisseau du moulin est bien entretenu pour évacuer les eaux vers le Bourdigou.

Nous coupons la route de Villelongue à Torreilles, et longeons tout droit les écuries de Monsieur le Maire.
Le groupe à travers champ...

A travers champ, nous arrivons au « canyon de mouroye », qui nous offre de belles vues sur le clocher du village qui date de 1508.
Le beau clocher du village.
Cabrit, Lynx, Okapi et la Fure au canyon de Mouroye.
 

Nous longeons le chantier du futur lotissement du Domaine de l’AUCA, pour rejoindre le cimetière des chiens, et retrouver la rue St Sébastien.

Il est 11 h 30 et Marcel ne perd pas de temps pour allumer le feu, bien alimenté par des souquets.
 
Tous les ingrédients sont en place:
Le feu.
Les biberons
Les convives
 
 
Les roustes, la saucisse et les botifares

Nous attaquons l’apéro, toujours à la santé des absents, mais nous aurons la surprise de voir arriver Patoufet en compagnie de son épouse.

Chargé de rendez-vous, Patoufet n’a pu faire la rando, mais il préfère sauter un « MARGE » qu’un repas !!!!
 
Patoufet aime le Villemajou.

C’est dans la bonne humeur que nous accueillons les arrivants, et bien entendu Ginou se joint à nous pour cette grillade pique-nique des Vambes.
Les débats sont lancés...
La Fure est déclaré Roi de l'AIOLI...
Il adresse ensuite une prière à St Camembert.... Avant de se tordre le bide avec le Vénus de l'Okapi
 
Nous savourons le retour du Cabrit et de son café.
L'Okapi qui n'arrive pas à le servir...
Marcel et Ginou qui savourent le Vénus avec un Banyuls l'étoile
 
Pierre de retour après s'être enfui avec l'arrivée de majesté Camembert....
 
Sous l'œil inquiet de Brigitte...
Et celui d'un oiseau de paradis qui nous observe et se demande à quoi jouent les VAMBES.
 

Nous aurons parcouru 13 km 300 en 3 h hors pauses, il est temps maintenant d'aller préparer la journée européenne du patrimoine.
 
Bien amicalement
Marcel.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

jeudi 14 septembre 2017


1er SEPT 2017- RANDO LE PIED DE CHARLEMAGNE A LAGRASSE

                              (Texte : Marcel ROUILLÉ)

               (Photos : André ROSAT et Marcel ROUILLÉ)

 

Distance : 8,3 km (avec le circuit botanique)

Dénivelé : 210 m

Durée : 3 h

Difficulté : facile

PARTICIPANTS : André ROSAT dit la FURE (voiture)

                             JL GRACIA dit PATOUFET (chef du jour)

                             Marcel ROUILLÉ dit le CARIBOU.

 

Le choix de ce circuit court et facile est imposé par le match  USAP/NEVERS qui se dispute ce soir à Aimé GIRAL

Cependant, nous ne comptions pas sur un trajet aussi long (87 km aller), malgré la conduite sportive de la FURE, qui n’a pas oublié ses vieux réflexes Parisiens.

Bref nous voilà sac au dos à 9 h 30, après avoir dégusté les viennoiseries offertes par PATOUFET.
 
 
C'est parti.....
 
 

D’entrée, un raidillon nous amène au pied d’une forêt de pins, et cette grimpette casse-jambe (en étant poli), nous offre un joli point de vue sur LAGRASSE, son Abbaye et son église.
 
 
 
L'Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse, fondée en 778 par l'Abbé NIMPHIBIUS.

Un panneau nous indique la direction du roc de la CAGALIERE, sur une zone rocheuse très fracturée, qui demande de la vigilance.
 
L'équipe au ROC de la CAGALIERE...
Un site avec des crevasses dangereuses...
 

De ce roc, nous avons un magnifique panorama sur le village, les corbières, et les massifs de l’Alaric et des Pyrénées.
 
 

Nous nous dirigeons maintenant vers le site du fameux « pied de Charlemagne ».

Lagrasse est associé à Charlemagne depuis sa double expédition en Espagne en 778, pour combattre les Sarrasins à Saragosse.

Le Roi des Francs confirma le nouveau monastère fondé par l’abbé Nimphibius le long de la rivière Orbieu.

La légende dit que le cheval de Charlemagne frappait trois fois ses sabots pour faire apparaître des sources.
 
La Fure dans le pied de Charlemagne...

C’est ainsi que ce trou de 50 cm de diamètre a été formé.
 
Patoufet cherche d'autres applications....
C'est le "PIED" !!!

Nous profitons de ce lieu pour faire la pause hypo.
 
Pose HYPO.

Nous arrivons maintenant au circuit botanique de Romanissat, agrémenté de 34 panneaux qui décrivent les espèces végétales méditerranéennes.


Un sentier botanique très instructif.

Nous nous dirigeons vers le COL ROUGE qui porte bien son nom.
 
Limons rouges à microcodium (des bactéries filamenteuses lacustres fossilisées, datées de 62à 65 millions d'années.

Une piste montante de 2 km nous ramène au point de départ, et la FURE nous dégote un coin pique-nique avec une vue imprenable sur l’Abbaye.
 
 
 
C’est le moment ROYAL, que du bonheur.

Quel privilège de pique-niquer sur un tel site !!!
 
 

Un petit café s’impose après le pique-nique, et nous allons prendre une petite heure pour flâner à l’ombre des ruelles étroites et empierrées de ce magnifique village médiéval, et par le pont vieux nous rejoindrons la splendide Abbaye Sainte Marie.
 
Deux VAMBES sous la halle qui datent de 1315.
 
 
L'Abbaye a été construite sur les rives de l'Orbieu.
 
 
 
Patoufet et le Caribou sur le pont vieux.
 

Après quelques achats de bonne littérature historique ....

 
 
 il est temps de rentrer, et vu la longueur du trajet, nous ferons une petite pause rafraîchissement sur un renfoncement au bord de la N9, visiblement pas mal fréquenté.
 
 

Nous avons apprécié la disponibilité de notre excellent Chef du jour PATOUFET, qui a participé à la confection de plusieurs cairns entrepris par ses deux collègues, et qui n’a pas hésité une seconde, pour récupérer la casquette de la Fure, qu’un coup de vent avait emporté.
 
 Le chef du jour récupère la casquette envolée de la fure...

Nous sommes rendu à Villelongue vers 16 h et déjà prêts pour encourager l’USAP.

Bien amicalement

Marcel.

 
NB: PATOUFET: Un excellent Chef du jour