Vendredi 22
SEPT 2017- LE TOUR
DU VAL DE PINTES A PORT-VENDRES
(Texte : Michel BARTOLI )
( Photos : Marcel ROUILLE
)
Distance : 11 km
Dénivelé : 450 m
Durée : 3 h
Participants : Marcel ROUILLE dit le Caribou (voiture )
Michel BARTOLI dit l’ Okapi
Cette fois, c’est la gabegie chez
les Vambes . Il n’y a que deux participants pour cette rando .
Certes, ce sont les deux meilleurs
et tous les autres avaient d’excellentes excuses pour s’absenter ….
C’est donc un peu déçus d’être
seulement deux , que le Caribou et l’Okapi prennent la route ; mais leur bonne
humeur n’est en rien entamée .
Après un rapide passage chez
Chantal, Marcel au volant de sa superbe DUSTER , nous conduit en direction de
Port-Vendres et
pour avoir déjà fait cette rando,
il propose de stationner au parking de la gare .
De ce point de départ, nous
allons vers le parc de loisirs du Val de Pintes, tournons à gauche puis passons
sous les voies de chemin de fer pour retrouver la nationale 914 .
Nous contournons le grand
rond-point et montons vers le lotissement « Pont d’Amour ». (On
entend déjà les réflexions des absents avec un tel nom !)
Au milieu de la côte, nous
empruntons à droite un chemin empierré
pour atteindre le col du Perdigué et traversons
les parcelles de vignes .
Débouchant à un carrefour de
pistes, nous continuons notre grimpette pour rejoindre la table d’orientation
du mas d’en Marti .
Les bateaux au mouillage dans la baie de Paulilles.
Nous passons ensuite dans une
suberaie et amorçons une descente pour mieux monter vers la route et la suivre
sur 300m .
Dans un large virage sur la
gauche, repéré par de grands genêts, nous suivons un sentier de terre.
Nous passons devant la Font du
Soldat, à peine visible sous les branchages et presque à sec en cette saison,
et avançons sur le sentier parmi les murettes de pierres recouvertes par la
garrigue.
Nous débouchons à nouveau sur la
route, poursuivons sur 80m et atteignons un col.
De là, nous montons sur la piste
à droite et arrivons à une fourche pour continuer jusqu’au col d’en Raixat.
Nous avons préféré cette version
de rando (il y en avait une deuxième ) pour profiter de la vue panoramique qui
s’étend depuis Collioure jusqu’à Port-Vendres .
Vue sur Argeles et la plaine....
Nous longeons le fort Dugommier,
toujours en cours de restauration, pour prendre 50 m plus loin un joli sentier
de crête .De là, quelle vue, les amis !
Puis une fois atteint le col juste
situé sous le Fort Saint-Elme, nous descendons sur Collioure en délaissant le
moulin des Courtines pour arriver au musée d’ Art moderne dont les marches sont
en pleine réfection .
Nous nous dirigeons ensuite vers
le port d’Avall pour prendre, derrière le
désormais célèbre cellier des
Dominicains, la Route Impériale légèrement au- dessus du relais des 3
Mas.
Après 800 mètres, avant la
descente de la Route, nous empruntons le sentier à droite qui suit le flanc est
du fort Saint-Elme.
Nous rejoignons alors la route
qui nous mène à Port-Vendres.
Pile-poil en face de la gare.
Vous noterez chères Vambes la
maîtrise du parcours, une fois n’est pas coutume.
Et en plus il est midi .C’est
juste l’heure du pique-nique .
Fidèle à ses habitudes, le
Caribou entame une discussion avec un pépère à l’étage de l’immeuble, en face
de la voiture .
Il nous faut savoir si le repas
sera sur place ou bien à notre Dame de Consolation où nous sommes sûrs d’avoir
des bancs.
Renseignements pris, nous allons
au parc de loisirs du Val, oui, mais en passant sur le côté, là où la porte
n’est pas cadenassée.
Et voilà le travail : un parc
avec bancs et tables en béton à profusion (7 ou 8 ).
OUAIS les gars ; pour le coup
nous sommes les Rois !
Voilà bien un endroit à faire
connaître aux Vambes absentes.
Après le pique-nique, nous
reprenons la voiture conduite en toute sûreté par Marcel, pour être à
Villelongue à 14 h.
Bien évidemment, Ginou est toute
surprise. C’est bien la première fois que ça arrive. Et là, une seule réponse :
«que veux-tu, sans les Boulets, nous avons suivi le topo-guide sans
forcer ».
Gros éclats de rire: même si ce
n’est pas gentil, ça fait du bien !
Les absents ayant toujours tort, il
faudra bien que La Fure nous pardonne d’emprunter un peu de son venin.
Bien à vous et……..
A la prochaine, chères Vambes ……
L’OKAPI ROYAL.